Hypersensible ascendant Gémeaux…

Hypersensible ascendant Gémeaux, c’est ce que je suis et c’est double peine….

Quand j’ai été diagnostiquée hypersensible, je n’ai pas vraiment pris cela au sérieux. Et pourtant j’étais bien obligée de constater que sans suivi thérapeutique et traitement chimique que je prends toujours je ne tenais pas debout.

Avoir simplement plus de sensibilité que la moyenne des gens me semblait gérable,  malheureusement plus je vieillis, plus je traverse d’épreuves  et plus je sens que cette hypersensibilité si elle est une force, un don du ciel, elle est aussi paradoxalement un handicap.

Peu à peu je me sens partir, me retirer du monde des humains… La vie n’a de sens pour moi que lorsque je suis en « état d’amour » et cet état depuis 2014 je ne le sens plus. Le burn-out a tout brûlé, même la naissance de mon petit-fils ne me donne pas envie d’avancer… toutes mes amours me manquent….

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Grandir

Grandir.…et si on décortiquait un peu ce verbe? Ce verbe s’applique à bien des choses en vérité autant humaines qu’inhumaines….

On peut agrandir sa maison, son jardin, agrandir son cercle d’amis, on peut aussi voir « grandir » un sentiment qu’on avait pour quelque chose ou quelqu’un….

On dit souvent à un enfant, « tu sauras ou tu verras quand tu seras grand… » mais en fait sommes-nous grands un jour, et que savons-nous? Devenir adulte est-ce devenir grand, que veut dire être grand: avoir une grandeur d’âme? Si c’est cela, on peut l’être bien avant d’avoir atteint l’âge adulte!

Toutes ces réflexions un peu métaphysiques me viennent à l’esprit au moment où je viens d’achever un très joli voyage à Lisbonne avec ma fille unique. Pendant ce moment d’intimité retrouvé, beaucoup de pensées se sont télescopées dans ma tête, comme si mon cerveau devenait le terrain de jeu des pensées « tamponeuses »….

Ce dernier voyage (peut-être l’ultime…) a déclenché beaucoup d’émotions, d’interrogations et a mis en lumière, en moi, des évidences. Cela faisait bien longtemps que nous n’avions pas pu toutes les deux, mère et fille, partager autant d’intimité dans un lieu neutre. Ni chez elle, ni chez moi.

Je prends la mesure depuis quelques semaines, voir quelques mois, depuis son récent mariage peut-être, que maintenant ma fille est devenue femme, une femme avec son propre libre-arbitre, son émotionnel, ses réactions, ses croyances, ses convictions. Je réalise vraiment aujourd’hui, malgré l’affection que nous nous portons toutes les deux, combien nos idées divergent et même s’affrontent.

Ai-je été une bonne mère? Je ne le sais pas en fait, j’ai essayé. Selon moi, une « bonne mère » doit être celle qui accepte les divergences. Nos enfants ne doivent pas être nos miroirs, nos clones.

C’est un vrai travail pour un parent d’accepter les divergences d’attitudes et d’opinions d’un enfant qu’on a élevé, qu’on a fait « grandir »…. A notre tour de grandir en acceptant leurs différences. Chaque parent guide son enfant vers des convictions mais au final l’enfant devient adulte et choisit son propre chemin, il acquiert sa liberté de pensée et heureusement qu’il en est ainsi!

Durant ce voyage, j’ai pris réellement conscience de l’impact du temps qui passe, du temps qu’il reste, de la marque du temps sur elle, sur moi et sur tout un chacun sur terre. J’ai pris conscience, comme sait le dire si poétiquement Baudelaire de la vitesse à laquelle l’horloge tourne. La mode passe, la terre tourne, les modes de vie évoluent, les sentiments évoluent, les moeurs évoluent….qu’est-ce qui demeure en fait?

Je suis maman et je prends conscience de ma difficulté à accepter le temps qui passe, et de tout ce que cela engendre et de la fin qui se rapproche….Peut-on être complices avec nos enfants lorsque nous avons une vision différente de la vie. La complicité existe-t-elle si nous ressentons les choses ou la vie différemment, si nous n’avons pas la même sensibilité face aux choses de la vie?

Aujourd’hui je sais que ce n’est plus à ma fille de grandir mais à moi en acceptant l’adulte qu’elle est, en respectant, en l’entourant sans l’étouffer, sans l’entraver, sans attendre d’elle le retour d’amour que je lui ai prodigué pendant trente deux ans…

Je dois accepter qu’elle n’a pas ma sensibilité, je dois accepter que le temps des câlins et de la douceur physique ne sera plus car parfois, une fois adulte, les enfants n’ont plus envie d’être dans nos bras,  d’être câlinés ou enlacés même si il ne s’agit pas d’un lasso mais juste d’une étreinte… La douceur et l’empathie ne sont pas innées ni éternelles chez l’être humain.

La douceur donnée à un enfant ne vous revient pas en boomerang…. Pourtant je l’aurais cru….

Cette prise de conscience me conforte encore davantage dans ma conviction qu’aimer c’est ne jamais rien attendre en retour et surtout pas de nos enfants..

 

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Crédits photos: Allociné

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Pourquoi je n’aime pas Noël?

Chacun est, à ce jour, dans les starting-blocks à attendre le Père Noël, alors que moi dès que la fin du mois de novembre s’annonce je suis envahie d’une profonde tristesse. Une forme de mélancolie, d’appréhension, c’est à chaque fois le coeur serré que j’affronte cette période des fêtes.

Pourquoi me direz-vous? Peut-être tout simplement parce que pour moi Noël n’est lié à aucun souvenir d’enfance heureuse. Mon père ne nous a pas élevé mes soeurs et moi dans la tradition des fêtes. Jamais de moments festifs, mêmes les anniversaires passaient à la trappe. Alors une fois devenue adulte, il m’a été difficile d’appréhender ce type d’évènement différemment et de manière festive.

Noël a commencé à exister à la naissance de ma fille car je me disais que, pour elle, je me devais de faire un effort pour qu’elle se sente une petite fille comme les autres. Il m’a fallu prendre sur moi, beaucoup, apprendre à décorer une maison, apprendre à préparer l’arrivée d’un Père Noël qui n’était jamais passé pour moi… J’y suis tout de même parvenue par amour pour ma fille. J’ai été à la fois sa maman, ses tantes, son grand-père, sa grand-mère, j’ai essayé de lui créer une famille à moi toute seule.

Aujourd’hui Camille et moi fêtons Noël en tête à tête et nous invitons en général son papa qui est tout seul.

Nous ne mettons pas les petits plats dans les grands mais ce soir là je gâte en général ma fille comme lorsqu’elle avait 4 ans, je sais qu’elle adore les petits paquets, les surprises, le fait-main alors je bricole pour elle, je me casse la tête et nous nous faisons la plus gourmande des dînettes.

Chaque Noël me rappelle l’absence d’une famille, l’absence d’une mère, disparue lorsque j’avais onze ans, à une fratrie disloquée, à un père autoritaire qui ignorait le sens de la fête, une belle-mère muette, absente, toujours triste. Seul le chien était joyeux dans notre pauvre famille.

Pourquoi ce billet aussi personnel, simplement pour tenter d’expliquer que souvent Noël est une immense mascarade, une réunion autour d’un repas et des cadeaux qui parfois ne signifient pas qu’on s’aime au quotidien, qu’on prend soin les uns, des autres au quotidien. On fête Noël parce que cela se fait, mais pour moi on doit fêter Noël parce qu’on le sent, parce qu’on ressent de l’amour, un amour réel, pas de menti, pas de faux semblant, pas de judas à Noël.

Mon rêve serait que l’on n’aie pas besoin d’une fête de Noël pour se dire « je t’aime », je voudrais un Noël quotidien, que le sourire et la bienveillance fassent partie de notre vie de tous les jours et que chacun s’applique quotidiennement à faire attention à l’autre.

Cessez de faire semblant de vous aimer à Noël aimez-vous tous les jours, n’attendez pas un jour dans l’année pour gâter vos proches de vos attentions, pour tendre la main aux personnes dans le besoin, c’est chaque jour qu’il faut le faire.

La vie est si courte et seuls l’amour et la gentillesse donnent du sens à une vie. C’est en tout cas mon avis, alors cette année, le soir du 24 décembre ayez une pensée sincère pour toutes celles et ceux qui sont seuls, mal aimés, abandonnés, dans les maisons de retraite, les orphelinats, les hôpitaux, où à toutes ces personnes qui vivent seules devant leur téléviseur.

Regardez à partir de 2018 au delà de votre périmètre de confort, allez vers les autres et aidez du mieux que vous pouvez autour de vous et cela commence tout simplement par un sourire!

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Une autre façon de prendre soin de soi

Pour en venir au thème de l’article que je vous propose aujourd’hui, je suis obligée à titre d’exemple de vous parler un peu de moi, et j’espère que cela ne choquera personne. Je suis atteinte de troubles alimentaires depuis mon enfance. Après beaucoup de crises et tentatives de suicide à répétition, le diagnostic d’anorexie mentale est tombé alors que j’avais déjà 30 ans.

C’est à ce moment là que j’ai été prise en charge pour la première fois par la médecine. La première démarche des médecins a été de combattre la maladie et les dégâts qu’elle provoquait sur mon corps par une dose massive de chimie. Une panoplie d’anti-dépresseurs, d’anxiolytiques, de somnifères m’a été prescrite, et en parallèle un suivi psychiatrique qui a commencé à 30 ans et se poursuit encore pour éviter que je chute du côté « obscur », sauf que les anorexiques à force de flirter avec la mort n’en n’ont pas peur du tout.

C’est l’entourage qui a peur, l’anorexique se sent invincible c’est bien là le drame. Pour sortir de cet engrenage pathologique, il faut essayer de comprendre pourquoi il faut se nourrir et comprendre que de n’être qu’un pur esprit ne peut se faire sans un corps, comme dit Platon « Il serait folie de vouloir guérir le corps sans guérir l’esprit » , le corps est le véhicule qui va vous permettre d’aimer, de partager, de penser, d’écrire et c’est un leurre de penser que l’on peut être juste « un ange ». Car au début le fait de ne pas vous nourrir vous donne une impression de toute puissance, de maîtrise de soi, de supériorité jusqu’au jour où votre corps se rappelle à vous et que vous ne pouvez plus le contrôler, il vous lâche vraiment (évanouissement, dérèglement digestif, déficit en calcium, chute de cheveux, des dents, squelette douloureux, asthénie permanente, aménorrhée, migraines insupportables, déshydratation de la peau, eczéma……) Tout cela je le vis et c’est une bataille permanente pour me convaincre que mon corps je dois l’aimer et m’en occuper et que si mes parents m’ont fait du mal, ce n’est pas une raison suffisante pour refuser de vivre, et de vivre maintenant!

Vous vous demandez sûrement pourquoi je vous livre mon histoire, une pathologie que je me suis efforcée de cacher, j’ai rusé toute ma vie, en donnant de fausses explications à chaque crise ( la balance indiquant, à certains moments de ma vie, 37kg il a bien fallu donner quelques informations  à mon entourage). Cette histoire très intime, je vous la livre car je suis une preuve vivante du soulagement que peut vous apporter une visite vers un naturophathe, sophrologue de surcroît.

La naturopathie, n’est pas seulement une médecine naturelle, et il est clair que nous ne pouvons pas nous passer de l’allopathie pour venir à bout de maladie grave comme le cancer par exemple, ce serait pure folie. La naturopathie est une médecine « préventive », elle nous enseigne comment notre corps fonctionne et comment avec des moyens naturels on peut venir à bout de certains dysfonctionnements ou certaines choses qui peuvent nous « gâcher » la vie, et abîmer notre capital santé.

Je pense à des problèmes de circulation veineuse, des problèmes digestifs, des allergies, les soucis liés à l’épiderme (eczema, psoriasis, herpès), les difficultés respiratoires….

Le naturopathe, avant de vous prescrire quoique ce soit, doit faire avec vous une visite complète de votre « mode de vie » dans ses moindres détails, il ne va négliger aucun aspect, hygiène de vie, alimentation, antécédents familiaux, apparition des symptômes en fonction du calendrier annuel, votre alimentation, votre digestion, votre façon de vous endormir, de vous réveiller, votre façon de gérer votre stress, vos migraines si vous en souffrez. Vous allez subir une forme de scanner « mental » et le praticien va vous aider à faire cette introspection sur vous-même. Il va vous astreindre, le temps d’une consultation à « analyser » vos symptômes et votre mode de vie quotidien.

Ce n’est qu’après cet examen complet auquel vous allez vous prêter car sans vous, le naturopathe ne peut rien régler, vous devez lui accorder votre confiance, et ne rien lui cacher car comme chez un psychiatre, mentir ou négliger un détail peut fausser le diagnostic et l’ordonnance.

C’est pourquoi on ne choisit pas son praticien à la légère, d’autant que l’obtention d’un diplôme n’est pas obligatoire pour exercer ce métier, comme d’ailleurs beaucoup d’autres (psychologue, sophrologue, cuisinier….) alors que ce métier a un lien direct avec votre santé.

Aujourd’hui, de plus en plus de personnes se tournent vers la médecine naturelle et la nourriture végétarienne, ou la nourriture biologique. Le « bien-être » devient à la mode, on veut faire de la méditation, du yoga, de la sophrologie, se soigner par les plantes, mais il faut rester prudent pour choisir son praticien, il vaut mieux faire confiance « au bouche à oreille » qu’à Google. Et surtout il ne faut pas suivre une mode mais être persuadé que votre bien-être dépend de votre hygiène de vie.

La naturopathie et la sophrologie ou la pratique de la méditation et du yoga sont des pratiques personnelles. Il s’agit d’une démarche personnelle et cela demande énormément de patience et de volonté pour ne pas retomber dans des schémas anciens.

Les spécialistes de la médecine allopathique conventionnelle ont tendance à considérer le patient comme un “foie”, un « intestin « ou un “sein”, alors qu’une approche holistique de la santé considère chaque personne dans sa globalité.

En effet, le mot « holistique » est dérivé du grec « holes » qui signifie « tout entier« . Le principe fondamental de l’approche holistique consiste à comprendre l’état de santé ou de déficience d’une personne en fonction de ses facteurs physiques, psychologiques, sociaux, écologiques et spirituels. Chacun de nous fait un voyage unique qui ne saurait se répéter sous le même aspect, ainsi notre état de santé nous indique à quelle étape du voyage nous nous trouvons en ce moment précis.

Les moyens mis en oeuvre doivent réconcilier l’homme avec lui-même, lui faire prendre conscience de ses erreurs, et l’aider à nettoyer ses blocages physiques, énergétiques, émotionnels et mentaux afin qu’il devienne la personne qu’il aurait du être si les aléas de la vie, l’éducation, les traumas,… ne l’avaient pas entrainés vers un autre chemin.

Le naturopathe va vous initier à ce qu’on appelle « le vitalisme ». Le vitalisme est notre capacité à développer notre potentiel de lutte contre la maladie. Car en chacun de nous il y a ce potentiel. Il faut changer radicalement sa façon d’aborder les problèmes de santé c’est à dire ne plus se précipiter sur les médicaments mais adopter plutôt un mode de vie, une hygiène alimentaire, des habitudes (comme prendre l’air régulièrement été comme hiver, aérer la maison, boire régulièrement des tisanes, manger du miel…) pour prévenir l’apparition de la maladie (comme un rhume par exemple). C’est tout cela que va vous apprendre votre naturopathe. Et il va essayer de comprendre avec vous d’où vient le symptôme ( exemple on ne développe pas un eczéma de façon anodine, il y a toujours à un effet, une cause….) et c’est en cheminant qu’on réussit à mieux combattre les désagréments de santé (je parle de pathologies simples (rhume, eczéma, psoriasis irritation de l’épiderme, émotivité, stress….). On ne se précipite pas d’emblée sur le tube de cortisone!!!

Le naturopathe est, en général, et c’est le cas de Magalie Griggio , un praticien tourné vers les autres avec une volonté de vouloir amener le patient à une prise de conscience et un mieux être. Voilà pourquoi je vous parle de Magalie vers laquelle, je me suis tournée, une personne remplie d’empathie, douce, à l’écoute des souffrances, à l’écoute tout simplement, rien que cette oreille qui vous écoute cela sera déjà pour vous un début de guérison.

Parallèlement à la naturopathie, Magalie s’est également formée à la sophrologie, une discipline que je conseille à tous, comme la méditation. La sophrologie est une médecine à part entière, elle vous apprend à sentir votre corps, et à maîtriser vos émotions à partir de votre respiration.

La sophrologie est une science* qui étudie la conscience humaine, un ensemble de techniques et de méthodes pour vous amener vers une conscience corporelle.

Elle vise, selon moi, la conquête ou le renfort de l’équilibre entre nos émotions, nos cognitions (pensées, connaissances, croyances) et nos comportements.

Au croisement de la relaxation occidentale et de la méditation orientale adaptées, elle permet à chacun de trouver de nouvelles ressources en lui-même et d’améliorer sa qualité de vie.

Après de longs mois d’études, tout en assurant parallèlement, son rôle de maman, rôle d’ailleurs dans lequel elle se sent le mieux, Magalie vient de décrocher sa certification et se lance dans sa propre activité.

Je voulais à la fois lui rendre hommage, car il est très difficile pour une femme de mener à la fois des études et son métier d’épouse et de mère au foyer,  mais je voulais aussi témoigner des soins qu’elle m’a apportés depuis un an bientôt.

La naturopathie, saviez-vous vraiment ce que c’est? C’est à la mode ? Mais allez au delà de la mode et vous retrouverez votre vitalisme indispensable.

Aujourd’hui, je suis toujours prise en charge par un psychiatre bien évidemment la chimie est toujours présente sur mon plateau au moment de manger mais mon état d’esprit à changer grâce à des rencontres et notamment deux. La pratique de la méditation et de l’hatha-yoga par mon professeur Jessica Roméo, et par la rencontre « magique » avec Magalie Griggio, aujourd’hui naturopathe.

Elle m’a prescrit une ordonnance qui me permet de palier sur certains domaines à la chimie notamment au niveau du système digestif car l’anorexie cause nombre de dommages aux organes. Elle a su trouver un remède naturel àmon eczéma des paupières… mais surtout elle m’a appris que je dois, à mon âge ne compter que sur moi-même pour rester en vie et accomplir mes projets. Elle m’a convaincue que sans mon corps, je ne pourrais jamais atteindre tous les buts que je me suis fixée comme voyager, aller vivre ailleurs, recevoir des amis, promener en forêt avec mon chien que j’adore, nager en mer, faire de nouvelles rencontres, écrire mon roman, et continuer à tenir ce blog!

Alors si vous êtes en quête d’une nouvelle manière de prendre soin de vous, de vous soigner, sachez que Magalie sera toujours se rendre disponible pour vous recevoir, que vous pouvez avoir une confiance sans limite et je sais que sa douceur et sa capacité d’écoute vous aideront dès la première séance à avoir envie de prendre soin de votre vie!

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