Le doute….

Depuis toujours mais surtout depuis cette dernière année le doute s’est installé si fort que j’ai l’impression d’avoir la tête et le coeur broyés par un étau…

Si je regarde vraiment en arrière, au dessus de mon épaule, je prends conscience que je n’ai jamais vraiment siffloté sur le chemin de la vie. J’ai grandi, mûri en me posant des questions toujours…. Pas question pour moi de faire de ma vie « un long fleuve tranquille » à croire que cela n’était pas pour moi.

Déjà toute petite, quand mon père me trouvait assise le nez au vent et au soleil sur la terrasse quand nous vivions au Maroc, il me disait d’une voix forte « tu n’as rien d’autre à faire qu’à « glandouiller »?

Ainsi, je m’aperçois encore aujourd’hui que la contemplation est pour moi une activité « répréhensible » d’ailleurs, ne l’est-elle pas dans notre culture européenne, ne pas travailler, ne pas s’agiter, est très mal vu, ne pensez vous pas? On est tellement culpabilisé de ne rien faire qu’on invente même des applications (Namatata, Petit Bambou…) pour nous apprendre à nous poser, à ralentir, à méditer…. comme le font les Asiatiques, les yogis.

J’aurais tellement aimé connaître ce type de bonheur, le bonheur d’une vie légère, une vie douce, une vie où on cesse de regarder tout le temps où on mets les pieds, une vie où on ralentit, on se tranquillise un peu. J’aurais aimé faire de ma vie   » un long fleuve tranquille » plutôt que de douter tout le temps sur ma capacité à bien gérer, à bien contrôler, à bien sécuriser le périmètre….

J’ai passé ma vie à m’angoisser pour les autres, pour moi, mais surtout pour mettre à l’abri ma fille, l’élever dans le confort, la faire grandir en lui apprenant l’autonomie, la faire grandir en lui apprenant la connaissance, en lui inculquant la valeur des choses bien faites et bien pensées. Aujourd’hui je me rends compte que j’ai fait peser sur ses épaules toutes mes angoisses. Les angoisses de ne jamais en faire assez. J’ai eu tort il faut vraiment apprendre à vivre l’instant présent et à cultiver la contemplation et le plaisir d’être simplement vivant.

Aujourd’hui encore à mon âge le doute est là, est-ce que j’en fais assez, ai-je bien mené ma vie? Puis-je être fière de mon parcours? Il est toujours question d‘estime de soi? Les parents jouent un rôle primordial en la matière dans l’enfance, c’est eux qui distillent cette estime. Mon père n’a jamais eu d’estime pour moi, à ses yeux je n’étais jamais assez bien malgré mes réussites multiples, quant à ma mère qui m’a abandonnée elle devait sûrement avoir le même sentiment…

Alors durant toute ma vie et aujourd’hui encore, ma vie arrivant à son terme il est difficile de chasser ce doute, suis-je quelqu’un de bien? En ai-je assez fait?

Pourquoi cette bataille intérieure ne cesse-t-elle pas? Pourquoi la vie ne devient pas , en tout cas la fin de cette vie ne devient-elle pas « un long petit ruisseau tranquille  » qui irait tout doucement se déverser dans l’océan que j’aime tant…

Ce doute, encore plus présent quand on arrive à la retraite, est si insupportable que toute ma vie perd de son sens. Même si je m’agite, même si  mes neurones font le marathon dans ma tête je cherche désespérément le sens de ma vie….

Quel sens à ma vie? Pourquoi cette course folle ne prend-t-elle pas fin? Comme j’aimerais m’envoler comme un oiseau pour toucher les nuages et m’y asseoir pour enfin contempler la terre et ses merveilles…

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Burn out?

Pourquoi n’a t-on pas trouvé un mot français pour exprimer ce qui d’un coup, comme la foudre vous mets à terre?

Le burn out? Qu’est-ce donc? Littéralement, faire un burn-out, c’est « brûler de l’intérieur, se consumer ». « C’est une usure à petit feu qui trouve sa source dans le cadre professionnel » Et comme le disent souvent les personnes qui ont été victimes d’un burn-out on ne voit rien venir, je n’ai rien vu venir!

Je travaillais depuis presque 30 ans et je vous assure que j’adorais mon métier et c’est peut-être cela qui m’a anéantie. Educatrice au Ministère de la Justice, puis responsable d’unité éducative, mon amour du métier n’a jamais failli, j’ai toujours trouvé sens à mon travail.

Toujours volontaire, disponible, impliquée, innovante, force de proposition, travailleuse, ne comptant jamais le temps donné j’ai travaillé avec conviction tout au long de ma carrière. S’occuper des enfants en difficultés c’était mon crédo, ma vocation, c’était cela qui m’avait poussée trente ans plutôt à passer le concours de ce Ministère.

Souvent il faut savoir que c’est justement les personnes enclines au perfectionnisme qui craquent, d’autant plus qu’elles attendent une forme de reconnaissance qu’elles ne reçoivent jamais. « Extrait  du magazine Psychologies : Le plus souvent, ce sont des personnes très engagées dans leur travail, qui aiment leur entreprise, des personnes ‘pilier’. Ce sont elles qui subissent le plus les tensions et le stress ». Des individus perfectionnistes, en quête de reconnaissance, dévouées à leur société… qui ne comptent ni leurs heures ni leur énergie, et se retrouvent les plus vulnérables face à ce que l’on appelle « la maladie de l’idéalité ». »

Mon parcours professionnel a été ardu, m’obligeant à délaisser ma famille et mon foyer pour cause de mutation, et puis se sont rajoutées les astreintes, le travail qu’on rapporte à la maison, les réunions qu’on préparent le dimanche pour ne pas empiéter sur le temps professionnel.

Et puis un jour, je n’ai plus pu avancer, les signes avant coureur ont été l’amaigrissement, un amaigrissement vertigineux 12% de mon poids en 3 mois, la fatigue, l’insomnie, l’irritabilité….le chaos.

Aujourd’hui je ne suis pas sortie de là, après 5 ans de congés de longue durée imposé par mon administration et par mon médecin me voilà à 60 ans en retraite anticipée… Un véritable cataclysme pour moi, la honte m’envahit, pourtant qu’y a-t-il de honteux à trop donner de soi et à faillir?

Je prends conscience aujourd’hui de la solitude qui a été la mienne et surtout je prends conscience que, sur notre lieu de travail quel qu’il soit, nous ne sommes qu’un numéro qui génère des résultats, ou qui doit impérativement générer de bons résultats, sinon…..

Et le deuil est long, je n’ai eu droit à aucun pot de départ, aucune carte de collègues, aucun message de cette équipe d’éducateurs que j’ai portée à bout de bras et à laquelle j’ai redonnée la dignité qu’elle avait perdue….le néant.

Pour la petite histoire j’étais à la fois l’épouse et la chef de service de l’un des membres de cette équipe, et bien même mon époux s’est désintéressé de mon état et au vue de cette désertion je me suis séparée de lui…. Une vie ruinée…

Voilà cinq ans aujourd’hui que je ne travaille plus et je le vis encore très mal, je n’ai pas encore récupéré mon équilibre et ma force, ni physique ni psychique.

Si je tenais à apporter mon témoignage ici sur mon blog c’est pour mettre la lumière sur une vraie maladie, pour expliquer que  le « burn out » est une dépression plus que sévère.

Ce n’est pas un chagrin d’amour, ni un deuil c’est un cataclysme qui vous anéantit, qui vous fait douter de tout et surtout de votre valeur.

Vous vous sentez un déchet, rejeté de votre milieu professionnel et coupable en même temps car vous continuez, au moment où vous êtes en maladie,  à percevoir un salaire, moindre certes, mais un salaire, alors que vous ne produisez plus!

Et dans la vie, aujourd’hui PRODUIRE, être rentable est le maître mot!

Alors pour toutes celles et ceux qui travaillent à fond, qui n’esquivent jamais les coups bas, la charge de travail, prenez soin de vous, soyez attentifs à votre bien-être. Soyez bienveillants avec vous-mêmes. Vous n’avez droit qu’à un seul passage sur cette terre.

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Amour conjugal

Comment un homme peut-il rester amoureux de sa femme? Avez-vous quelques réponses à cette question cruciale en ces temps terribles où les divorces se ramassent à la pelle?

 

Quel est le secret? Y a-t-il un secret, une méthode pour garder bien au chaud cette petite flamme de l’amour? Un coup de canif est si vite arrivé? C’est tout le propos du dernier film de Daniel Auteuil, que j’apprécie autant comme réalisateur que comme acteur.

Avec « Amoureux de ma femme », il signe ici une comédie romantique très réussie qui fait sourire, détend mais fait également réfléchir sur la vie de couple!

L’histoire:

Daniel est très amoureux de sa femme, mais il a beaucoup d’imagination. Son meilleur ami (Gérard Depardieu) plutôt « pot de colle, insiste pour diner « entre couples » afin de lui présenter sa toute nouvelle, et très belle, amie.

Daniel se retrouve alors coincé entre l’attachement qu’il porte à son ami et à sa femme qui n’admet pas le fait que Gérard Depardieu puisse avoir plaqué sa femme (qui n’est autre que sa meilleure amie à elle) pour s’enticher d’une jolie jeunette. Au final, elle accepte avec mauvaise grâce le fameux dîner et prend sur elle en femme de bonne manière.

Mais lors du dîner, Daniel, semble perdre « un peu les pédales » et se laisse emporter, submerger par « des rêves » qui le surprennent lui-même.

Ce film est très particulier au niveau de sa composition car nous sommes, à certain moment, perdus entre la « fiction » ou « l’imagination de l’acteur » et la réalité de la situation vécue? Son imaginaire prend à un point tel le dessus que parfois nous pourrions croire à « un étourdissement » bien « réel » c’est assez stupéfiant, surprenant, déstabilisant!.

Au cours de ce dîner, organisé de manière quelque peu forcé, la femme de Daniel, brillamment interprétée par Sandrine Kiberlain,  va donc découvrir la personnalité de la jeune femme qui a poussé sa meilleure amie hors de la couche conjugale…et comme toute les femmes (solidarité oblige!), la jalousie, la méchanceté, la critique rappliquent au galop….

Il faut avouer que la fameuse nouvelle copine (Adriana Ugarte) est d’une beauté naturelle absolument « indécente »!!! D’entrée de jeu, cette beauté ne peut être considérée que comme dangereuse, perverse, insolente!!!

La beauté ne peut être assimilée qu’à de la perversité ou à un piège machiavélique. D’ailleurs les femmes belles sont souvent prises pour ce qu’elles ne sont pas, des « voleuses de maris » des « crache ta tirelire » !

Etre belle n’est pas un crime, certaines femmes se servent de leurs atouts, c’est la vie, les hommes font de même !!!! La seule précaution à prendre dans ce genre de piège est de garder la tête sage et claire et ne pas se laisser happer par le chant des sirènes!!!

L’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs, dites vous toujours que l’amour, si vous l’avez à la maison est la chose la plus précieuse et qu’il faut la chouchouter!

Toujours est-il, que Sandrine Kiberlain se retrouve avec le diable sous son toit et elle sent que son mari Daniel Auteuil, subjugué par tant de beauté, et jaloux de son meilleur ami,  perd les pédales et qu’il va falloir qu’elle trouve une façon de sauver son couple….

Il n’est pas question pour moi de vous révéler le film qui, au demeurant, est assez complexe à résumer. Un film joué comme une pièce de théâtre,  un vaudeville, des scènes jouées avec un extrême talent.

Les talents s’entremêlent entre celui de Daniel Auteuil, le candide aveuglé, Sandrine Kiberlain l’épouse méfiante, jalouse et futée, Gérard Depardieu doux comme le miel et aveugle de surcroît, et Adriana Ugarte, la beauté insolente au sourire de Joconde. Ce huit clos est une réussite absolue!

Ce qu’il faut retenir du film, en tout cas, ce que moi, j’en ai retenu, c’est que ce n’est en rien la beauté de votre mari ou de votre femme qui vous fait demeurer à ses côtés.

La beauté est éphémère, mais l’intelligence, la complicité, la connivence, l’attraction intellectuelle, la fierté, sont des éléments fiables et durables car le temps ne peut les altérer, bien au contraire si vous en prenez soin, si vous faites régulièrement attention à pratiquer « de la remise à niveau » vous pourrez garder cette vitalité qui séduira votre conjoint et vous persuadera que vous avez fait le bon choix!

Pour faire durer la flamme, ne vous endormez pas sur vos lauriers, continuez à vous faire plaisir l’un l’autre, un dîner romantique, deux places de concerts achetés en cachette, un petit week-end improvisé, une bouteille de champagne débouchée sans occasion particulière tout simplement parce que c’est bon et que la vie est trop courte pour remettre à demain les plaisirs qu’on peut s’offrir aujourd’hui!

Et n’oubliez pas de temps à autre à dire, écrire ou chanter votre amour!

Alors foncez mesdames, dites à vos hommes combien vous les aimez, et vous messieurs faites un détour pour un petit shopping et rapportez à votre amour le petit foulard qu’elle a repéré la semaine dernière en boutique ou apporter lui une rose, ou son dessert préféré,  c’est ringard mais je peux vous assurer que ça fonctionne!

Ne lâchez pas prise l’amour est un travail au quotidien! le risque de perdre l’amour qu’on aime est incessant alors on remonte ses manches et on ne laisse pas le bonheur quitter son coeur et la maison qui l’habite!

L’amour n’est pas quelque chose qu’on trouve sous le sabot d’un cheval tous les jours! Souvenez-vous en toujours!

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Crédits photos: Allociné.

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Miroir mon beau miroir….

J’ai, depuis mon enfance, toujours douté de mon apparence physique, jamais je ne me suis sentie jolie, ni même mignonne, mes parents n’ayant jamais eu de mots gentils au sujet de mon physique bien au contraire, j’étais trop grosse, trop frisée, j’avais du ventre, les dents en avant…

Bref n’étant absolument pas sûre de plaire à quiconque, je me suis appliquée dans les études car j’ai toujours pensé qu’au moins si je n’étais pas jolie, je serais cultivée et instruite.

J’ai grandi au Maroc toute mon adolescence, et jamais je ne sortais, ni même aurais-je eu l’audace de désobéir à mon père. Dans les années 70, on ne parlait pas encore des méfaits du soleil sur la peau ou de nourriture saine et équilibrée, ni de vaccins, ni de mode, ni de cosmétique.

Mon adolescence s’est déroulée dans le chaos et je suis devenue femme comme j’ai pu.

Dès mon baccalauréat en poche, je suis partie de chez mon père pour entrer en France, j’ai poursuivi mes études et j’étais toujours aussi peu encline à me plaire, plutôt sauvage, j’avais beaucoup de mal à me faire des amies encore moins des amoureux!

J’ai aujourd’hui ma vie derrière moi et le doute est toujours là, pourtant je ne peux pas dire que je n’ai pas été courtisée, j’avais même l’impression de l’être trop et parfois dans le monde professionnel il faut tenir bon contre le harcèlement. L’opposition peut parfois nous emmener bien des difficultés.

J’ai connu bien heureusement aussi l’amour et je suis aujourd’hui persuadée que c’est l’amour, le regard de l’homme qui vous aime qui vous rend belle, désirable et surtout sûre de vous. Nul besoin de maquillage. Nul besoin de faux seins ou de retouches, il faut juste du bonheur et un vrai sourire aux lèvres. Néanmoins je vais vous livrer quelques petits secrets puisque beaucoup de gens pensent que je fais plus jeune que mon âge.

La beauté commence déjà par la santé, le soin que l’on prend de son capital santé. Je n’ai jamais ni fumé, ni bu. Je n’ai pas appris à abuser de quoi que ce soit, à lâcher prise en matière de nourriture, ni viande, ni gras, ni crème, ni beurre, ni gâteaux à la crème, ni biscuits hypercaloriques (ceci étant dit j’ai l’impression que la gourmandise s’apprend! Au Maroc, les sucreries n’étaient jamais présentes à table, et les Mac Do n’existaient pas! Alors, dans mon enfance je mangeais des légumes et des fruits et l’on buvait de l’eau.

J’ai d’ailleurs élevé ma fille ainsi, en lui donnant des bases saines sur le plan de l’alimentation. Je ne l’ai jamais emmenée au Mac Do, et le soda n’était pas dans le frigidaire! Il faut savoir que l’alimentation a une importance capitale sur la qualité de la peau, tout comme l’absence de tabac et d’alcool.

J’ai notamment fait du sport toute ma vie, quand je vivais à Paris, je descendais du métro quelques stations avant afin d’avoir mon quota de marche à pied, je marchais beaucoup et faisais de la gymnastique à la maison toute seule pas assez de sous pour se payer des cours en salle.

La pratique du sport a toujours fait partie de ma vie, de mon mode de vie et je pense que cela se ressent dès qu’on arrive à la soixantaine. Le corps reste souple et bien ferme. J’ai pratiqué la randonnée en moyenne montagne pendant des années, puis du fitness, et aujourd’hui du yoga. Même si je déteste mon corps et mon visage, il semblerait qu’inconsciemment j’en ai pris soin!!!

Je suis une fille du Sud, adolescente au Maroc nous n’avions aucune crème de protection solaire  pour aller à la plage, jamais nous n’y aurions pensé. Très tôt, en France, j’ai cessé les expositions prolongées au soleil car ma peau très mate capte très vite le soleil et les UV sont très mauvais,  même en randonnée je tartine mon visage d’écran total.

En matière de beauté, mon secret a toujours été l’hydratation, et le démaquillage quotidien! Se nettoyer le visage avec soin et si on utilise de l’eau, se méfier du calcaire en utilisant une lotion florale pour parfaire le démaquillage, et appliquer matin et soir une crème hydratante, dès vos 16 ans.

Après avoir expérimentée des tas de soins, des produits de très grande marque (Dior, Carita, Lancôme, Guinot, Décléor…) je me suis rendue compte qu’il est faux de penser que c’est le prix qui fait l’efficacité du soin. Aujourd’hui, je n’ai plus le budget pour me payer de tels produits certes, mais je suis à tout point de vue contre! Vous payez l’emballage encore plus cher que le produit lui-même et ces produits sont la plupart infestés de poison pour la peau!

Mon visage aujourd’hui est très sensible bien que je ne me sois jamais trop maquillée, préférant rester naturelle. je me suis mise comme ma fille me l’a conseillée à la cosmétique bio et je sens ma peau bien hydratée.

J’utilise beaucoup d’eau florale, des produits cosmétiques bio. Je m’informe de tout ce que je pose sur ma peau, il y a des produits que j’ai découverts peu à peu jusqu’à trouver ceux qui me vont vraiment bien. Je les choisis sur le site Greenweez, ou Aroma-zone ou Indemne, Abellie. Mes cosmétiques préférés sont à base de miel comme ceux de Secrets de Miel, et j’utilise beaucoup d’aloe vera.

Voilà un billet personnel pour surtout vous dire que la beauté est partout et que c’est surtout l’amour que vous avez de la vie, de la nature qui vous entoure qui vous rendra belle, l’amour que l’on vous porte et l’amour que vous offrez. C’est cela le secret de la beauté, la beauté est tout d’abord intérieure, elle est un équilibre à trouver, un amour à trouver car il vous permettra de rayonner et d’être rayonnante. Et l’amour sera un moteur pour que vous preniez encore davantage soin de vous.

 

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