La doudoune on la traîne partout!

L’indispensable du dressing de l’hiver est sans nul doute la doudoune? Levez le doigt celles qui n’ont pas encore investi dans cette fabuleuse petite veste légère et chaude à la fois.

On peut la porter comme on veut version chic et version sport. Je vous propose le look sport mais citadin puisque je l’ai assorti avec un jean et une paire de bottines à lacets plates.

Depuis que j’ai trouvé cette petite veste chez Bleu Bonheur je ne la quitte plus car j’ai horreur des manteaux qui m’engoncent, j’aime les vêtements chauds mais en même temps très légers à porter.

J’ai opté pour une fois, pour la couleur noire ce qui n’est pas coutumier chez moi car j’adore la couleur mon dernier manteau Bleu Bonheur était bleu pastel une petite merveille vous le trouverez ici.

J’avais déjà dans mon armoire une doudoune bleue réversible fleurie alors cette fois j’ai choisi du noir pour pouvoir m’éclater à l’accessoiriser avec des écharpes de couleurs car j’ai une véritable addiction pour les foulards, chèches, écharpes et snoods qui nous permettent d’illuminer l’hiver. Alors comment la trouvez-vous cette petite doudoune de Bleu Bonheur bien évidemment vous pouvez la choisir dans la couleur que vous souhaitez.

Je la porte avec un jean Promod et j’ai accessoirisé ma doudoune avec une écharpe XXL aux motifs pieds de poules noire et blanche et un bonnet dans les mêmes coloris assorti à pompons de chez Babou j’adore!!!

Je vous souhaite un très bel hiver bien emmitouflée grâce à Bleu Bonheur une enseigne au top qui propose des vêtements d’une excellente qualité et dont je suis fièrement l’ambassadrice.

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Lingerie oubliée et retrouvée….

Quand j’étais jeune fille je n’avais pas la possibilité de porter de la vraie jolie lingerie, ayant grandi au Maroc je n’ai pas eu l’occasion de faire ce type de shopping…

En plus j’avais un gros problème de poitrine, j’avais des seins absolument énormes et disproportionnés par rapport à mon buste, je souffrais beaucoup de cette « infirmité » et des réflexions récurrentes de mon père qui me trouvait « grosse »!

Mon père avait un ami qui travaillait à l’époque chez Playtex et c’est donc vers cette enseigne que je me suis tournée. A l’époque on parlait du fameurx « coeur croisé ». Ce « coeur croisé » a à l’époque révolutionnait le monde de la lingerie et il a surtout révolutionné le mien. Grâce à ce soutien-gorge magique j’avais l’impression que ma poitrine avait rétrécie, c’était effectivement magique!!!!

Une fois rentrée en France après mes études et avoir réglés mes problèmes « d’obésité pectorale » j’ai pu découvrir une multitude de marques de lingerie de la moins coûteuse à la plus inabordable, ce moment a été pour moi une révélation….Je devenais enfin une femme comme les autres.

Aujourd’hui je me suis penchée à nouveau sur cette marque de lingerie tout à fait par hasard. Je me balade beaucoup sur les ventes privées et je suis tombée sur le site de Playtex. Et j’avoue avoir été réellement surprise et charmée par l’évolution de la marque. Je me suis rendue à l’évidence que mon  « coeur croisé » a pris du galon et bien plus, il a pris de la dentelle, des couleurs, et a gagné en délicatesse et féminité.

Je vous le présente ici en images, n’ayant pas de photographe, et étant guère douée en selfie j’espère que vous pourrez quand même apercevoir ce joli modèle. Je vous en propose d’autres ici alors n’hésitez pas à vous tourner vers Playtex, une marque bien loin d’être ringarde et vous trouverez la qualité à un prix vraiment abordable. Personnellement je suis ravie de mon achat. Vous le trouverez ici.

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The Green Book

Je n’ai pas su attendre… ce film magnifique je l’ai vu le jour même de sa sortie sur les écrans et soyez en certains c’est une magnifique histoire que vous ne pouvez ignorer.
L’histoire:

En 1962, alors que règne la ségrégation, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, lors d’une tournée de concerts. Durant leur périple de Manhattan jusqu’au Sud profond, ils s’appuient sur le Green Book pour dénicher les établissements accueillant les personnes de couleur, où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.

Dans un pays où le mouvement des droits civiques commence à se faire entendre, les deux hommes vont être confrontés au pire de l’âme humaine, dont ils se guérissent grâce à leur générosité et leur humour. Ensemble, ils vont devoir dépasser leurs préjugés, oublier ce qu’ils considéraient comme des différences insurmontables, pour découvrir leur humanité commune.

Ce film est tiré d’une histoire vraie, une histoire qui, lorsque vous quittez votre fauteuil, vous serre la gorge.
Le Docteur Don Shirley a bien existé et son chauffeur Tony Lip aussi!
Ce que j’ai perçu c’est qu’il n’y a pas de doute possible, que ce soit en 1962 ou en 2019 le racisme reste un sujet sur lequel on disserte.
Ce film remarquable montre jusqu’où l’être humain peut aller par bêtise et surtout par ignorance.
Dans l’Amérique profonde de 1962, comme aujourd’hui, le racisme ne s’explique à mon sens que de cette façon. Le racisme est né de l’ignorance, comment peut-on penser que la couleur de peau d’une personne puisse faire d’elle une personne inférieure ou supérieure?
Ici ce principe apparait encore plus probant car la personne de race noire en l’occurrence est un génie de la musique. Le  Dr Don Shirley est un musicien dont les blancs s’arrachent les prestations, un virtuose du piano mais il est par ailleurs extrêmement instruit.
Shirley avait un doctorat en musique, en psychologie et en arts liturgiques. Il parlait couramment huit langues et était un peintre de talent. Tous les blancs qui gravitent autour de lui sont nettement moins cultivés que lui. Ces blancs très riches se l’arrachent pour jouir de ses dons de pianiste au cours de leurs dîners mondains et néanmoins le traitent comme un sous-homme d’une manière humiliante et inhumaine.
Il y a le génie d’un côté et l’homme noir de l’autre à croire qu’être les deux n’est pas compatible!!!
Ce raffinement hors du commun sera d’ailleurs une arme à double tranchant car la culture et l’intelligence de Don Shirley ne le rend pas plus blanc et l’éloigne des noirs qui le prennent pour un noir qui ne supporte pas sa condition de noir et qui ne veut pas se mélanger à eux!
Cette solitude ruine son coeur et c’est avec chagrin que nous voyons cet homme exceptionnel vivre sa vie seul et incompris. Jusqu’à sa rencontre avec Tony….
Dr. Don Shirley a la volonté de changer les mentalités dans cette Amérique profonde c’est pourquoi il insiste auprès de sa maison de disque pour faire cette tournée musicale même si elle peut le briser sur le plan psychologique.
Don Shirley est un génie et comme il est dit dans une des répliques du film « pour changer les mentalités il faut du génie mais il faut aussi du courage », Don Shirley possède les deux qualités.
Ce qui vous touchera aussi c’est cette merveilleuse amitié qui va se construire au cours de ces mois de tournées entre ces deux hommes. Tony et Shirley sont bien différents et ils vont savoir conjuguer avec leurs différences et chacun devenir le soutien de l’autre et s’aider l’un l’autre à modifier leur vision de la vie.
Tony va apprendre à notre virtuose à manger du poulet frit avec les doigts et à profiter des petits bonheurs simples de la vie et le virtuose va apprendre à Tony la non violence et la réflexion car lever les poings ne sert à rien. Il va lui apprendre aussi « quelques ficelles pour être un vrai gentleman »

Ce film est absolument à voir, il élève les âmes et nous démontre encore et encore la violence du racisme et la façon la plus intelligente de le combattre.

Je vous souhaite une très belle séance.

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Mère, ou grand-mère inné ou acquis?

Je me suis toujours posée beaucoup de questions sur la maternité au sens large du terme. Etre maman est-ce quelque chose qui nous vient, à nous les femmes, de façon naturelle ou est ce un « métier »? Ne passe-t-on pas par des phases d’apprentissage?

Pour moi la fonction de maman n’a pas été si simple. Je me  sentais à la fois absolument solidaire de mon bébé et en même temps complètement désemparée. Ayant souffert de l’absence d’une mère, d’une soeur pour pouvoir marcher dans d’autres traces j’ai avancé à tâtons et j’ai commis un certain nombre de maladresses, comme beaucoup de mamans je suppose…. Heureusement que la PMI supervisait la situation!

Etre maman semble être le métier le plus naturel du monde et pourtant c’est le métier sur lequel je me suis posée le plus de questions bien plus que lorsque je suis devenue éducatrice. Pas de réunion de supervision, on se débrouille seule, à l’instinct, en fait on se laisse guider par notre bébé et on apprend tous les jours.

Qu’en est-il de la fonction de grand-mère? Il fallait bien qu’un jour la question tombe sur le tapis? Est-ce plus simple? Tout le monde dit : « être grand-parents c’est ce qu’il y a de plus simple, on peut tout se permettre on est là pour aimer et non pour éduquer….  » Que nenni, pour moi la grand-mère ou le grand-père peuvent être l’un comme l’autre un repère, un autre cocon où l’on grandit et on apprend.

Je ne serais jamais une grand-mère gâteuse ou « gagatifiante ». L’enfant est une personne et c’est ainsi qu’il doit être traité et non comme une petite chose qui ne comprend pas et dont le seul but est de s’amuser.

Mon rêve serait d’être la même que celle que j’ai été en tant que maman, la grand-mère qui raconte, qui fait découvrir, qui lance des défis, qui balade en forêt, qui apprend à faire des gâteaux, à faire des collages en papier et des mobiles avec du bois ramassé en forêt. La grand-mère qui traîne des heures à la bibliothèque, celle qui prépare les costumes de carnaval, qui est une fidèle des salles obscures, prête à toujours se régaler lors de la sortie de tous les dessins animés….

La grand-mère a qui on se confie, la grand-mère détentrice des secrets, des remèdes à tous les chagrins, la grand-mère qui sourit et qui danse toujours le rock dans le salon et chante à tue-tête les succès de Walt Disney. Voilà la grand-mère que j’ai envie d’être. Et je resterais ce que je suis une mamie voyageuse, une mamie qui ne tient pas en place et qui ne sera jamais une « gardienne ».

Et lorsque le  jour arrivera où je ne me sentirais pas de recevoir ma petite fille ou mon petit fils je veux être capable de dire non, jamais je ne voudrais imposer une grand-mère morose ou malade à mes futurs petits enfants! Je veux être une mamie « vérité » et une mamie libre pas jugée, pas entravée. Les enfants sont pour moi capables de comprendre que les grandes personnes ne sont pas toujours en pleine forme! Les grands-parents encore moins que leurs parents!

 

Je veux être la mamie Mary Poppins sinon je ne serais pas!!

Et vous quelle grand-mère êtes-vous? Ou quelle grand-mère souhaitait vous devenir? Ce nouveau rôle vous fait-il peur?

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