Elvire et ses doigts de fées

Vous commencez à me connaître et à savoir combien il est important pour moi de discourir sur ce blog, et en toute liberté, de tout ce qui me passionne, et il est vrai que lorsque j’ai quelque chose à dire, ou à montrer qui a suscité chez moi une émotion ou un sentiment d’admiration, je ne manque jamais de vous en parler.

Tous les domaines me touchent, du plus basique comme la mode (alors que je suis contre l’accumulation et « le: trop beau, il me le faut absolument » la culture au sens large (peinture, sculpture, littérature, art culinaire, voyages, environnement…)  le domaine artistique (la création, la publicité, la décoration…). Tant de sujets me passionnent qu’il m’aurait fallu 7 vies comme les chats pour pouvoir tout explorer, tout goûter, tout toucher…

Dans ce post, je vais vous présenter une jeune femme qui m’a charmée, non seulement parce qu’elle a des doigts de fées mais également parce qu’elle a un parcours admirable, courageux et pour moi ne jamais baisser les bras et les tendre jusqu’à atteindre son  rêve est un geste qui mérite toute mon admiration et tout mon respect. Je vous présente Les Délires d’Elvire, mais Elvire n’a rien de délirant, ses créations ne sont pas délirantes mais plutôt féériques, à la fois magiques, parfois classiques, parfois fantasques, une créatrice qui ose, qui joue avec la matière. Une créatrice qui sait se laisser aller, qui écoute sa petite voix intérieure, qui sent les choses. Avant d’assembler ses coupons de tissus et de les transformer en sacs, en pochettes, Nathalie (c’est son vrai prénom) les palpe, les sent, les regarde et soit elle suit son idée, soit elle répond au mieux aux commandes qu’on lui adresse.

Toutes les blogueuses la connaissent c’est certain, ou connaissent ses créations, moi j’avais envie de rencontrer la personne comme au moment où j’ai rencontre Carla Greta, une rencontre un peu magique qui a débouché sur un article « La vida es chola » que vous pouvez retrouver ici. Une rencontre qui nous a marquées autant l’une que l’autre et nous sommes restées très proches.

Et bien avec Elvire (ou plutôt Nathalie) le même coup de foudre s’est produit. Pourtant nous en avons mis du temps à organiser une vraie rencontre, un rendez-vous fugace autour d’un café mais qui m’a apporté beaucoup et le parcours de cette créatrice n’a pas été facile du tout. Son chemin de vie est tout à fait étonnant.

Nathalie a commencé sa carrière au Sénégal où elle dirigeait un restaurant avec tout de même 15 personnes en cuisine et 5 en salle, une vraie manager! D’origine toulonnaise après son BTS  commercial, elle travaille dans l’évènementiel (le Salon de l’Habitat entre autres). Le fait d’être fille de militaire l’a contrainte à bouger beaucoup la Bretagne, puis Tahiti et il n’y a rien de plus enrichissant que d’avoir une enfance où on est trimballé de droite et de gauche, on apprend d’autres us et coutumes, on se frotte à d’autres cultures et il en ressort toujours un jour quelque chose. Sa maman était artiste peintre.

Puis un évènement éprouvant et traumatisant (sa maison brûle, et les assurances ne sont pas très compatissantes) va bousculer d’un seul coup le monde de Nathalie et donner naissance, en 2014 « Aux Délires d’Elvire, car en tout est pour tout il ne lui restait que sa machine à coudre. Revancharde, audacieuse, elle  se lance et participe tout d’abord au Wooh Market, puis à Fémin’Art. Nathalie m’a charmée par son côté introverti, très respectueuse de l’autre, de l’espace de l’autre. Elle cherche à se démarquer mais surtout à sortir d’une identité commune (dans laquelle nous avons toutes tendance à se laisser glisser).

L’identité commune, moi, je déteste, je suis moi et si cela dérange changez de trottoir, il est clair que lorsqu’on se lance dans le métier de créatrice il faut jongler avec ce que l’on est, ce que l’on a au fond de soi et ce que le public désire sans se faire offense car sinon on souffre.

Nathalie est autodidacte, en cousant elle est devenue couturière, créatrice, je vous renvoie à un merveilleux livre de Carole Martinez qui s’appelle « Le coeur cousu » et qui raconte l’histoire d’une femme qui à travers son ouvrage fait « s’envoler des papillons »…

Les Délires d’Elvire sont à Elvire, ils sont comme elle, unique, si vous souhaitez une création de Nathalie sachez qu’elle travaille sur commande, il faut compter un délai d’un mois pour la fabrication. Donnez lui votre rêve et elle en fera un sac, une pochette…. Et n’oubliez pas que le tissu est une matière vivante, le contact d’un tissu peut vous laisser proche de la rêverie ou vous ramener à l’enfance.

Voilà je pense vous avoir délivré tout ce que je sais sur Elvire et je sais que nos chemins seront amenés à se recroiser pas seulement parce qu’elle confectionne de jolies choses mais surtout parce qu’elle a un parcours qui mérite mon respect, mon admiration et que j’ai été séduite par toute la douceur qu’elle dégage et tout simplement que j’ai vraiment envie de la retrouver pour un moment moins furtif.

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A bijoux atypiques, créatrice atypique!

J’ai eu la chance de rencontrer Mahana, créatrice de bijoux lors du Marché de Noël de La Garde (mon billet sur l’évènement) ou d’ailleurs j’ai découvert un grand nombre d’artisans très talentueux et attachants en décembre.

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J’avais eu un petit aperçu des créations tout à fait originales et racées de Mahana grâce à ma fille Jenychooz et j’enviais beaucoup certaines petites boucles d’oreilles!

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Mahana crée des bijoux tout à fait atypiques, originaux, racés, élégants, vous êtes pratiquement certaines d’avoir un bijou d’exception et unique.
nJe suis pour ma part, très fan de ses boucles d’oreilles à plumes, à la fois voyantes et aériennes, elles donnent comme l’impression quand on les porte d’avoir traversé une forêt dense, foisonnante et habitée par des elfes ou des fées….

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J’ai sillonné un peu les enseignes de bijoux « éthniques« , pour être certaine de vous convaincre. Si vous aimez ce style de bijoux, surtout commandez sur son site, car tout ce que vous pourrez trouver ailleurs sont de vulgaires copies de mauvaise qualité, insipides et qui viennent évidemment de Chine!
nMessieurs, c’est bientôt la St Valentin, offrir un bijou de Mahana c’est être certain de ne pas faire de faux pas et d’offrir un bijou d’exception pour l’élue de votre coeur!

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Mahana possède un style très personnel et unique. Elle trouve son inspiration grâce à ses multiples voyages, et au creux de son enfance. Vous remarquerez le petit clin d’oeil « Apache ».
nD’ailleurs sa collection porte des noms issus de tribus comme les « navajos ».

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Quand on découvre sa collection (sautoirs, bracelets, boucles d’oreilles), on a envie de troquer sa tenue contre un jupon couleur soleil, on a envie d’une crinière de feu et de danser autour du feu.
nPersonnellement j’aime porter des bijoux qui ont une âme où qui délivrent un message, soit de sagesse, soit d’histoire, soit de spiritualité, soit de « conviction ». Je suis adepte des bijoux « talisman » et j’ai eu la chance de retrouver cette idée de bijoux « protecteur » chez Mahana.
nPour nous les femmes, pour la plupart et c’est mon cas, nous portons des bijoux qui nous ressemblent, qui reflètent notre état d’esprit, notre personnalité.
nLe bijou est un accessoire aussi important qu’un parfum, il vous enveloppe d’une atmosphère et doit susciter des questions pour ceux qui sont face à vous.
nJ’ai d’autre part, toujours craqué pour les créatrices en règle générale.

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Pour être créatrice, il faut non seulement avoir du doigté, de l’inspiration, de l’obstination mais aussi du courage.

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Rien n’est simple quand on a décidé de faire ce que l’on aime, ce que l’on porte en soi et d’en faire son métier. Moi je dis bravo et respect.

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J’aimerais avoir ce courage moi aussi, j’ai tellement de choses qui ne cherchent qu’à s’exprimer en moi, l’écriture d’une biographie, ouvrir un salon de thé littéraire, un service traiteur à domicile….mais aujourd’hui il n’y a plus que le temps qui reste, le futur c’est ici et maintenant!

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Après cette parenthèse tout à fait personnelle, je vous invite à vous rendre sur le site de Mahana & Baby Doll, Mahana travaille avec sa soeur, qui elle, s’est lancée dans la confection de sacs, vous en aurez un aperçu sur les photos, qu’elle vend aussi sur le site.

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Mahana a du talent mais surtout une sacrée personnalité, une battante, une femme magnifique souriante, accueillante, chaleureuse et je n’ai qu’un regret c’est ne pas avoir pu prendre le temps d’un vrai « échange » avec elle pour qu’elle me parle des contrées qu’elle a traversées et auxquelles elle rend hommage dans ses créations.

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Voyages

Voilà déjà un petit moment que je voulais publier cet article. Vous connaissez maintenant suffisamment bien mon blog et ma personnalité pour savoir que j’ai toujours besoin de partager.

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Aujourd’hui j’aimerais partager avec vous l’histoire de Florence et de sa maman qui ont décidé de s’associer toutes les deux pour ouvrir une boutique et enfin réveiller les passions qui les habitent depuis toujours mais qu’elles n’osaient pas mettre à jour.

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C’est aujourd’hui chose faite et je tenais à saluer cette prouesse car oser ouvrir un commerce est courageux et téméraire. Chacun sait aujourd’hui combien les créateurs ont besoin d’être soutenus et moi petite blogueuse de rien du tout, je m’efforce de les aider du mieux possible.

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La boutique de Florence et de sa maman se situe rue Lamalgue, quartier du Mourillon à Toulon.
nCette petite rue que j’affectionne particulièrement et qui m’offre toujours de très jolies surprises (la boutique de Marie, Maï B. Atypique Concept) Chola by Carla Greta (que j’ai eu l’immense bonheur de rencontrer lors des nocturnes du Mourillon Market, j’ai d’ailleurs consacré un billet à cette très talentueuse créatrice (allez le lire et passez commande elle fait des merveilles..).

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Mère et fille ont décidé de baptiser leur petite boutique « Voyage au bout de la rue » et cela lui va comme un gant, car il est vrai qu’il est bien question dans leur histoire de voyages et de parcours de vie….

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La maman de Florence a attendu d’être à la retraite pour s’adonner à son envie de créer des bijoux, vous en verrez quelques uns en photos sur mon billet.
nCette maman, hors du commun, était professeur de sport, elle a exercé dans un milieu scolaire sensible type ZEP (Zone d’Education Prioritaire) et dans des LEP (Lycée d’Enseignement Professionnel). J’ai travaillé également pendant 28 ans auprès de mineurs délinquants et cabossés et je sais combien leur apporter enseignement et éducation est un travail épuisant et qui nécessite une véritable vocation.

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Cette maman, qui a également pratiqué l’expression corporelle, a toujours ressenti le besoin de s’exprimer, et c’est ce qu’elle fait aujourd’hui en créant ses bijoux. Elle associe le métal, l’argent, des pierres semi-précieuses pour les transformer en bracelets, boucles d’oreilles…, un travail fin et soigné.

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Florence, quant à elle, a un parcours tout à fait étonnant, car malgré sa jeunesse, elle a osé quitter un métier qui lui offrait la sécurité de l’emploi pour s’adonner à une passion délicate, celle de la photographie.

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Florence, est une personne très douce, très à l’écoute des autres, entière, libre dans sa tête, qui laisse s’exprimer librement son imaginaire et qui a un regard sur la vie très positif.
nEt quand on s’intéresse à son parcours, on comprend pourquoi….
nSon métier d’origine était professeur de philosophie. Elle a exercé son métier dans un gros lycée privé à Versailles ou deux mondes s’opposent, celui des nantis, celui des non-nantis.
nCe monde dichotomique n’a pas convenu à Florence qui pense, et je la rejoins sur ce point, que dans la vie il n’y a pas que deux couleurs, deux points de vue.

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Et que, même dans le mauvais il peut y avoir du bon, la notion de déchet pour Florence n’existe pas et c’est ce qu’elle démontre par ces photos. Florence fait de la photo mais surtout elle a un vrai regard, un objectif, au sens propre, comme au sens figuré…
nElle veut sensibiliser les gens à regarder autour d’eux, leur apprendre à sublimer parfois ce qu’ils peuvent observer dans les rues, un graffiti, un tag, un mur délabré, une peinture qui s’effrite… Apprendre à voir au delà.

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Quand Florence sillonne les rues avec son appareil photo, elle part en voyage mais elle a souvent une idée qui lui trotte dans la tête un sujet qui lui vient, soit une couleur, soit une matière, soit du végétal, du minéral…
nUne fois les photos capturées, tout le travail de création s’élabore dans son atelier, un travail subtil ou elle va savoir trouver le détail, la couleur, l’arabesque, le mot qui va faire la photo.

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Et c’est en ce sens que j’admire les créatrices car elles font travailler leur imaginaire, tout le temps, elles ont comme un fil d’Ariane dans la tête qu’il faut tirer, tirer jusqu’à l’aboutissement… Comme un accouchement, une naissance.

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En parallèle, Florence, propose un atelier classique de photographie où vous pourrez vous faire prendre en photo, portrait, portrait de famille… ou lui passer commande pour couvrir un évènement particulier comme un mariage, un baptême, un enterrement de vie de jeune fille, photos de couples…. Elle est à l’écoute de toutes vos envies ou besoins.

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Personnellement, je trouve l’association mère/fille très touchante mais je pense qu’il et plus facile de vendre des bijoux que de la photo.

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Le talent de Florence est très perceptible à travers ses créations photographiques, on est réellement en admiration devant des photos qui deviennent des toiles, lumineuses, originales, qui ont du grain, qui font ressentir la matière, qui vibrent et que l’on a envie de s’offrir pour décorer son intérieur.

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J’ai particulièrement été touchée par ce talent là. Je pense que Florence mérite une véritable attention et vous devez faire le détour pour voir de vos yeux ce qu’elle transporte dans son imaginaire, je souhaiterais vraiment que soit organisé en son honneur un vernissage et nous allons tenter très vite, cet automne, de le mettre en place pour que chacun puisse venir admirer son travail.

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Des photos telles que les siennes ont besoin d’être mises en valeur dans un lieu plus spacieux, une photo doit s’observer de près mais aussi de loin et sa boutique est un petit espace qui n’offre, à mon sens, pas cette possibilité.

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Je pense vous avoir tout dit et je souhaite une très belle réussite à cette petite boutique toute récente qui va faire son chemin grâce à vous et à leurs talents j’en suis certaine.

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Contact :

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 »Voyage au bout de la rue

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56 rue Lamalgue, 83000 Toulon

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Horaires
nmar-sam:
n09:30 – 12:30
n15:30 – 19:30
ndim: 09:30 – 13:00

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Téléphone
n09 83 54 36 87
nE-mail

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voyageauboutdelarue@gmail.com »

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Une petite créatrice pleine de fantaisie

Au cours du dernier évènement organisé par la joyeuse Marie dans sa jolie boutique Mäi Be Atypique à laquelle j’ai consacré un article sur mon blog car elle le mérite largement.
nJe trouve sa boutique et surtout le concept de l’enseigne innovant et tourné vers les autres. Elle laisse la place dans son petit endroit aux petits et grands créateurs par générosité et pour partager ses passions. C’est comme cela que j’ai pu découvrir beaucoup de créateurs de la région.

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La boutique est située dans la rue Lamalgue dans le quartier du Mourillon à Toulon et à l’occasion de la fête des mères, Marie organisait un « after » pour celles ou ceux qui étaient en panne d’inspiration pour leur cadeau « special mom ».
nJ’ai eu un véritable coup de coeur pour les créations originales, intéressantes, futées, diverses et variées, pleine de tendresse et de couleurs que nous présentait Sabine alias Tatie Binou

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Je devais absolument partager cette rencontre avec vous, non seulement Tatie Binou a du talent mais au delà de cela c’est une personne pleine de peps, de gaîté, passionnée par son métier et c’est d’ailleurs de sa profession qu’a émergée l’idée de se lancer dans la création d’objets destinés à la petite enfance.

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Pour tout vous dire cette jeune femme travaille dans le domaine de la petite enfance, elle est auxiliaire de puériculture, elle donne les soins courants aux nouveau-nés ou aux enfants en bas âge.
nEt chemin faisant, elle a pris conscience que les jeunes enfants ont un rapport très particulier avec les objets. Ils s’y attachent ou parfois même les délaissent sans qu’on en comprenne vraiment la raison. Parfois c’est une odeur, une couleur, un toucher…qui saura faire la différence et la force de l’attachement. Les enfants ne s’accaparent pas tous les objets de la même manière même les plus célèbres comme Sophie la girafe!

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De son oeil aguerri de professionnelle de l’enfance, Sabine a observé les enfants, leurs relations aux objets et s’est mise derrière sa machine à coudre et à imaginer, à confectionner, en ne négligeant pas l’aspect ergonomique des produits, des hochets, des bavoirs, des petits coussins adaptés pour la sieste à la crèche, des accroches tétine, des linges destinés aux mamans pour pouvoir langer les enfants n’importe où, tout un tas de petits objets qui font partie de l’univers de l’enfant mais également de la maman.
nLes objets sont originaux et ils sont chacun des pièces uniques. Votre enfant avec un petit bavoir signé Tatie Binou ne peut manger sa soupe que très sagement, car pour sûr il ne veut pas tâcher un si joli bavoir!

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Bien-sûr, Tatie Binou, en plus de sa vocation pour s’occuper des pitchounets, a de surcroît des talents de couturière et de l’imagination à revendre et dans sa lancée, elle s’est mise également à proposer quelques pièces aux mamans, notamment des tabliers, trop beaux eux aussi pour être tâchés, et je crois bien que je vais craquer pour un de ses modèles où peut-être même lui décrire le tablier de mes rêves et qui me ressemble! Ingénieuse et douée comme vous le voyez à travers les photos, je suis sûre qu’elle saura relever le défi!

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Voilà, j’arrive à la fin de mon billet, j’espère vous avoir mis l’eau à la bouche, et j’invite les jeunes mamans, les jeunes grand-mères, les papas aussi, ceux qui sont en recherche de cadeaux de naissance qui sortent de l’ordinaire, à se tourner vers cette créatrice plutôt que rester dans le banal achat d’objets nécessaires pour l’enfant, soyez gais, soyez innovants, surprenants, vos bébés, vos enfants ont besoin d’un univers coloré et joyeux pour être plus heureux alors foncez vers Tatie Binou….

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Pour trouver les articles de Tatie Binou c’est simple c’est ici: ou ici

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