Welcome baby!

Il y a autour de moi un nombre incalculable de copines qui sont sur le point d’accoucher et je mets toujours un point d’honneur à vouloir gâter chacune d’entre elles. Mais le budget n’est pas toujours aussi gros que l’affection que je leur porte….

Alors comme à mon habitude je suis allée fureter dans ma boutique aux trésors Babou en espérant trouver de jolies choses pour gâter ces petits bouts de choux…

Bien évidemment j’ai une fois de plus trouver mon bonheur et en même temps découvert tout le rayon « naissance » de chez Babou qui regorge de petites choses à croquer. Cela va du linge (cape de bain, draps, petit plaid moelleux, en passant par les vêtements, les accessoires de toilettes, la petite vaisselle « special baby » et bien-sûr tous les doudous et jouets 1er âge.

J’ai découvert un petit univers où j’ai adoré déambuler en me rappelant ma jeunesse quand j’attendais moi-même ma fille, j’étais d’ailleurs aussi fauchée qu’aujourd’hui et toujours à l’affût des bonnes affaires. Souvent pour palier à la situation je prenais mes aiguilles à tricoter ou m’installer derrière ma machine à coudre.

J’ai trouvé pour mes amies sur le point d’accoucher des petites choses toutes mignonnes, des petites capes de bain adorables, des bodys, des chaussettes girly, et de jolis emballages qui donnent encore plus de valeur au cadeau, sans compter l’amour que j’y ai glissé dedans!

Alors n’hésitez pas à faire un tour dans cette enseigne absolument fabuleuse qu’est Babou à l’égale à mon sens, d’aucune autre pour faire de bonnes affaires…

A quand le rayon « Mariage » chez Babou ce serait tellement bien que les futurs mariés puissent trouver aussi leur bonheur car une robe de mariée cela coûte si cher!

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La légèreté n’est-elle pas la clé du bonheur?

Plus j’avance sur mon chemin et plus je m’interroge, les saisons défilent, les jours défilent, les modes défilent…notre monde est prisonnier d’une agitation incessante mais surtout d’une agitation dont le seul but semble être l’appât du gain.

 

Je ne me sens pas appartenir à ce monde là, je n’ai jamais été une accro à la société de consommation, très probablement parce que j’ai vécu toute mon adolescence dans un pays pauvre où consommer voulait surtout dire se nourrir et j’ai grandi au sein d’une famille où le superflu n’a jamais eu sa place. J’ai été tellement formaté ainsi que même au moment le plus prospère de ma vie professionnelle je ne parvenais pas à acheter quelque chose d’inutile.

Je ne souffre absolument pas de cela, amasser des biens ne signifient rien pour moi, je ne vous cache pas que j’ai besoin comme tout un chacun d’un certain confort de vie mais amasser des biens simplement parce qu’ils sont « tendance », à la mode, à la pointe du progrès …non, ceci n’est pas moi, et je pense que cela m’évite bien des frustrations et désappointements.

J’ai toujours su me contenter de ce que j’ai sans en souffrir, l’essentiel étant pour moi l’épanouissement de ma fille. Mon rêve n’a jamais été d’être milliardaire mais plutôt riche d’amour, j’aurais tant aimé appartenir à une famille comme dans « Les Quatre filles du Docteur March » ou tant aimé fonder ma propre famille,  avoir des enfants autour de moi, des rires, des pleurs aussi, des cris, la vie en somme,  car l’essentiel n’est-il pas là?

Depuis plus deux ans je pratique le yoga, j’ai commencé à me tourner vers cette discipline après un burn-out sévère qui m’a laissée vraiment dans le chaos le plus complet.

Le temps était venu pour moi de me poser, de réfléchir, de m’occuper un peu de moi au lieu de courir après une performance professionnelle qui au final ne conduit pas à grand chose!

L’essentiel pour être heureux, n’est-il pas simplement d’être en harmonie avec soi-même, en harmonie avec sa façon de penser même si celle-ci est réprouvée par autrui?

Préférer les balades en pleine nature avec mes chiens plutôt que de courir après le dernier article à la mode. Respirer, sentir le souffle du vent, prendre le temps de lire, prendre le temps d’apprendre, réfléchir vraiment  au  « pourquoi on a mal » et à ce que l’on pourrait faire pour y remédier.

Dans tous les magazines, vous trouvez aujourd’hui des chapitres entiers sur la « hyggie therapie », « la sobriété heureuse » « la simplicité volontaire », toutes ces nouvelles théories sur le bonheur et le secret pour le trouver.

Nous nous rendons compte de plus en plus que l’accumulation nous fragilise, nous passons notre temps « à combler des faux vides par des fonds pleins ». Et si nous réapprenions à utiliser notre énergie pour nous occuper des humains et à moins se soucier des objets et des biens matériels. Libérer de l’espace chez soi, pour libérer de l’espace dans sa tête.

Que diriez vous de redevenir humble et de mettre fin au paraître? Se sentir aimer par pour ce que l’on possède ou ce que l’on offre avec de l’argent mais se sentir aimer car nous sommes bienveillants envers autrui, à l’écoute, serviables.

Il s’agit ici de trouver le juste milieu entre nos envies et nos besoins et de toujours regarder en bas, ceux qui ont moins et qui gardent pourtant le sourire,  plutôt que de sans cesse viser plus haut.

Comme l’affirme Lao Tseu « celui qui sait qu’il possède assez, est riche »

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Aimer qu’est ce que c’est?

Vous vous attendiez sûrement, compte tenu du titre de mon article  à ce que je vous écrive une tirade sur l’amour mais ce n’est pas mon propos d’aujourd’hui.

Le thème de l’amour a pourtant toujours été un de mes sujets favoris car si ce n’est l’amour qu’est-ce qui nous fait tenir debout et nous fait avancer?

Dans ce billet, je voudrais surtout vous parler de la responsabilité qu’engage l’acte d’amour, que cet amour soit envers une femme, un homme, un père, une soeur, un animal, une plante, une rose….qui n’a pas lu Le Petit Prince de Monsieur Saint-Exupéry?

« Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. »

Je viens ici sur mon blog pour vous parler de l’amour que je ressens pour mes animaux de compagnie et que l’amour qui me lie à eux engage effectivement ma responsabilité, autant que lorsque j’ai mis ma fille au monde.

Si je vous raconte tout cela et je serais brève pour une fois dans mon propos c’est que cette semaine j’ai du prendre une décision pour le bien-être de mon chien qui m’a beaucoup coûtée, culpabilisée, tourmentée…

Quelle décision ai-je dû prendre? La décision terrible de faire castrer mon chien par le vétérinaire, même si je sais que j’ai fait cela pour le protéger du cancer de la prostate plus tard, pour le protéger contre lui-même quand il sent les femelles et m’échappe et se met en danger, cette décision a été vraiment douloureuse à prendre. Le dilemme n’a pas été le même pour mon chat Marlon, la castration d’un chat semble plus « naturelle », surtout davantage nécessaire car un chat peut se balader où il veut quand il vit à la campagne et se faire agresser par d’autres chats pour la conquête d’une belle!….

J’ai beau savoir que mon Snow ne sait pas ce que je lui ai fait, moi je le sais et ce n’est pas son regard en accent circonflexe qui me préoccupe mais le regard que je porte sur moi-même.

Alors, depuis son retour de chez le vétérinaire, je deviens un peu gâteuse, je m’agenouille et lui murmure à l’oreille que je l’aime et que si j’ai pris cette décision c’est pour qu’il m’accompagne le plus longtemps possible et que je ne peux envisager de le voir un jour malade ou blessé parce qu’il m’a échappé en courant après une amoureuse.

Et vous, comment aimez-vous vos animaux? Quels sacrifices êtes-vous prêts à faire pour eux, pour les rendre davantage heureux et surtout leur permettre de vivre plus longtemps? Leur vie est si courte par rapport à la nôtre. Alors n’hésitez pas à gâter vos chiens, chats, oiseaux, poissons, la vie passe si vite et sachez que seul notre amour compte pour eux.

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Le pouvoir de l’amour d’une mère

Comme à mon habitude, je n’ai pas manqué d’aller au cinéma cette semaine! J’attendais avec impatience la sortie de « La Promesse de l’Aube » étant une intellectuelle accomplie j’ai lu l’oeuvre de Romain Gary ou Emile Ajar et j’avoue que c’est un auteur que j’ai lu très jeune et qui m’a marquée.

 

J’avais très envie de vous parler de ce film, qui effectivement ne fait pas un tabac dans la presse et cela est bien dommage car il vous instruit sur la vie de cet écrivain mais surtout ce film traduit à merveille ce que peut être, ou ce que peut accomplir l’amour d’une mère. Et bien soyez persuadés que l’amour d’une mère, comme d’ailleurs l’amour d’une femme peut transformer un homme, une vie, une trajectoire, un chemin de vie.

Ce film, La Promesse de l’Aube, réalisé par Eric Barbier, traduit la biographie de l’écrivain mais surtout nous fait ressentir l’ amour sans limite, l’amour exclusif d’une mère pour son fils. Un amour, peut-être étouffant, mais qui peut aussi construire et rendre plus fort, plus téméraire, plus courageux. Car que ne ferait-on pas par amour? Quelles prouesses ne sommes-nous pas capables d’accomplir?

Au delà de ce thème, il faut souligner la prestation plus qu’excellente de Pierre Niney et Charlotte Gainsbourg, jamais je n’ai vu un tandem d’acteurs aussi exceptionnel, une parfaite alchimie se crée entre eux deux. Nous arrivons à ressentir le poids de cet amour, le conflit intérieur de ce fils trop aimé. Il oscille parfois entre deux sentiments la haine pour sa mère qui l’étouffe souvent et l’amour et l’admiration qu’il a pour cette femme qui s’est dévoué corps et âme pour donner lui donner une éducation mais encore davantage que cela, le plus important la confiance en lui. Par la force de son amour elle arrive à le convaincre qu’il peut tout tenter et donc qu’il peut tout réussir, et qu’il deviendra célèbre, qu’il deviendra écrivain, héros de guerre, ambassadeur…. Cette mère qui porte aux nues son fils unique, comment ce fils tant aimé pourrait-il décevoir sa mère?

« Tu seras un héros, tu seras général… ambassadeur de France » Cet amour maternel à la fois exubérant et constructeur est le point d’ancrage du livre. Les nombreux contrastes entre les émotions du jeune Gary (à la fois gêné, plein de rancune et de gratitude pour sa mère) et du narrateur adulte (dont le regard rétrospectif et nostalgique est à prendre en compte) font de ce roman un des récits les plus émouvants jamais écrit sur l’amour maternel et la fidélité d’un fils(source Wikipédia).

Ce film est très mal accueilli par la critique et pourtant pour ma part, je suis sortie de la salle profondément émue, non par l’histoire que je connaissais déjà mais par le talent des acteurs. Je salue tout particulièrement Charlotte Gainsbourg qui s’empare toujours de rôles extrêmement audacieux, atypiques. Elle est dans le rôle, elle est la mère de Gary, elle a même travaillé sa diction pour avoir l’intonation et l’accent polonais, elle est sublime d’authenticité, on ne peut que s’incliner devant une telle interprétation.

Voilà, j’espère que vous irez voir ce film, ne vous fiez pas toujours au critique cinématographique dans la presse, laissez vous porter par ce film autobiographique et qui donnera peut-être envie aux non-lecteurs de feuilleter l’oeuvre de Romain Gary, d’autant que c’est un écrivain qui a reçu a deux reprises le Prix Goncourt!

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