Une pincée de tendresse et de délicatesse et vous ouvrez La Parenthèse

J’ai eu l’immense plaisir de faire la connaissance de Clémence, par le biais d’Instagram et le coup de coeur a été si fort que je ne pouvais pas manquer de vous la faire découvrir.

Clémence est une jeune femme d’une gentillesse, d’une douceur et d’une délicatesse qui m’ont charmée. Les deux heures que nous avons passées ensemble ont défilées à la vitesse d’un bon dessert,  comme une gourmandise, comment vous dire,  comme quand vous arrivez à la dernière bouchée de votre délicieuse glace à la vanille! Vous vous dites déjà c’est fini! Un goût de trop peu….c’est cela une jolie rencontre, un coup de coeur…..

Clémence, depuis l’enfance aime dessiner, elle illustrait son cahier de poésies déjà à l’école. Lorsque je me suis retrouvée face à elle, j’ai ressenti, c’est souvent ce qui se produit avec les personnes que je rencontre par l’intermédiaire de mon blog, que les créatrices font ce qu’elles sont. Clémence par sa posture quand elle regarde sa petite fille qui fait la sieste dans sa poussette, quand elle baisse les yeux, ou sourit d’émotion est, à elle toute seule, une forme de poésie, et effectivement le temps de cet interview, nous avons créer « une parenthèse de douceur et de poésie », nous n’entendions plus les bruits ambiants et pourtant je peux vous assurez, qu’en été, les bruits ambiants sur les terrasses des cafés sont assez sonores.

Au premier coup d’oeil, quand Clémence a posé timidement ses dessins sur la table, j’ai ressenti une très vive émotion et comme une vague de douceur. Les illustrations de Clémence sont douces, bucoliques, pastels souvent, et quand les teintes sont plus vives le dessin semble s’animer. C’est magique. J’ai beaucoup d’admiration pour les personnes qui dessinent, car pour moi dessiner nous révèle encore davantage que des mots écrits sur un carnet.

Le dessin est une activité plus délicate que l’écriture et qui demande énormément d’imagination, qui demande un sens du visuel, une capacité à observer la nature, les personnes, à ressentir les ambiances…. J’ai ,moi-même, quand j’étais plus jeune, réalisé beaucoup d’illustrations à partir de collage papier mais c’est une technique infiniment plus facile car on part d’une base, d’un papier illustré ou coloré alors que le dessin la feuille est vierge comme celle d’un carnet de voyages.

Clémence ne pensait jamais utiliser son talent pour devenir illustratrice, elle se destinait plutôt à une carrière dans l’architecture. Et la magie opère au moment de son congés maternité, cette « parenthèse » renforce son envie de dessiner et elle commence à penser à la décoration de chambres d’enfants. Elle s’inspire des Fables de Monsieur Jean de La Fontaine et les illustre à sa façon. Le résultat est stupéfiant, rien à voir avec les illustrations de Gustave Doré. On sent au travers de ses dessins son attachement à la nature, aux animaux, elle parvient à donner du relief au dessin et à même nous faire sentir la douceur du pelage du renard roux.

Soutenu et poussé par son mari qui croit en son talent, et j’avoue que je suis en tout point d’accord avec lui, elle lance sa petite entreprise de vente en ligne « La Parenthèse » des créations pour fixer le temps, n’est-ce pas joliment dit.

 

Sur son site vous trouverez tout ce dont vous rêvez, et vos souhaits seront exaucés dans tous les domaines, illustration de livres, illustration de mots d’enfants (une façon si tendre de ne pas les oublier), faire-part de mariage, de naissance, marque-pages (en préparation) et je l’espère illustration de carnet de voyages (c’est en tout cas la commande que j’ai passée à Clémence pour illustrer mes écrits lors de mon séjour en Inde).

Je voulais avant de fermer cette « Parenthèse » si douce, vous informer que Liveloveandcook et La Parenthèse ont décidé d’organiser un évènement le jeudi 3 Août à 18h dans mon jardin autour d’un petit buffet pour que vous puissiez profiter d’une exposition non virtuelle des illustrations de Clémence. Un moment de partage qui vous permettra de découvrir cette talentueuse créatrice mais également la douceur qui la caractérise.

Vous pourrez vous rendre-compte de la qualité de son trait, du choix des papiers qu’elle utilise et vous pourrez aussi lui faire part de vos souhaits pour un futur proche ou moins proche. Bien évidemment cet évènement sera gratuit et doit être pris comme un instant de rencontres et de plaisir, une halte au jardin c’est comme réciter une poésie.

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Et si nous rattrapions nos rêves

Ce titre de billet questionne mais il s’agit bien ici de « rattraper ses rêves ou ses passions », en tout cas de s’en rapprocher de plus en plus. D’ailleurs nous devrions tous en faire autant, ne jamais reculer devant une passion, surtout si elle nous habite depuis longtemps, parfois même depuis l’enfance!

 

Je dédie cette article à une jeune femme qui a la passion de la création depuis toute petite. Peut-être l’avez-vous croisée sur son Instagram  jenny_colorzen? C’est mon cas, sur Instagram on fait beaucoup de jolies rencontres et vous connaissez mon caractère, lorsque j’ai un coup de coeur je le partage, toujours dans l’idée de susciter l’intérêt chez d’autres personnes et de donner un petit coup de pouce à des créatrices en herbe.

Je vous présente Jenycolorzen, je suis tombée amoureuse de ses attrape-rêves, j’ai toujours aimé cela, bien avant que ce soit la mode et je trouve que ceux qu’elle réalisent sont très jolis, délicats, originaux, il n’y en a pas un qui ressemble à l’autre!

 

Jenny a une créativité débordante, une maîtrise de l’art de tisser des fils, d’assembler des plumes, de travailler les nuances de couleur qui vaut le détour. D’autre part il suffit de lui écrire un petit mot pour obtenir la création de nos rêves.

Quand on pense que la passion première de cette jeune créatrice était dans son enfance le coloriage, puis elle se passionna par la broderie au point de croix.

Elle s’est bien éloignée aujourd’hui de l’enfance et nous confectionne avec délicatesse des attrapes-rêves. Mais connaissez-vous la symbolique de l’attrape-rêves?

Les  attrape-rêves ou dreamcatcheurs nous viennent de la culture amérindienne. « le capteur de rêve empêche les mauvais rêves d’envahir le sommeil de son détenteur. Agissant comme un filtre, il capte les songes envoyés par les esprits, conserve les belles images de la nuit et brûle les mauvaises visions aux premières lueurs du jour ». Selon cette culture, à laquelle j’adhère complètement, le rêve est l’expression des besoins de l’âme. Il est aussi primordial de satisfaire les besoins de l’âme que ceux du corps. Le rêve permet de se libérer. Il assure l’équilibre. Si on écoutait la démarche que les rêves nous proposent, on comprendrait beaucoup mieux les besoins de l’âme. D’ailleurs Monsieur Freud en parle dans « sa psychanalyse des rêves ». Pour ceux que la signification des rêves intéresse je vous renvoie sur le lien qui parle du travail de Freud à ce sujet, ici.

Revenons à notre Jenny je vous fais découvrir en images son talent, son savoir-faire, sa passion, passion qui je l’espère ne la quittera pas, peu importe ce qu’elle crée. Pour moi la création peut être un exutoire à bien des soucis et des angoisses au delà de la dimension créative. Créer, faire de ses mains apportent énormément de fierté et nous ramène l’estime de nous-mêmes, que ce soit du bricolage, du collage, de la peinture, de la couture, du jardinage, toutes ces activités nous font oublier nos soucis ou toutes nos préoccupations ou tensions se mettent l’espace d’un instant entre parenthèses.

Mais comment expliquer cet engouement actuel pour les attrape-rêves, les gens ont-ils la peur au ventre,, n’arrivons-nous plus à retrouver le calme et la serénité au moment d’aller se coucher? Personnellement, je pense que nous sommes actuellement tous préoccupés et soucieux de notre avenir et peut-être nous raccrochons nous à des talismans pour déjouer le sort, pour contourner le spleen qui nous envahit parfois, pour recréer à l’intérieur de nos maisons le bien-être et l’espoir? Et puis n’est-ce pas un très bel objet décoratif aussi?

Voilà je pense vous avoir tout dévoiler sur Jenny et ses attrape-rêves, alors passez commandes car il n’y a pas d’âge pour rêver, pour croire aux histoires de magie, aux légendes, il est bon et salutaire de garder son âme d’enfant et dans le cas présent des attrape-rêves de nous laisser transporter dans le monde de nos ancêtres amérindiens.

Je tire mon chapeau à Jenny pour ses créations et je lui souhaite bonne route sur le chemin de la créativité et j’espère que tous ces rêves se réaliseront au fil du temps.

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