Bienvenue dans le monde d’Hypo

Hypo? Mais c’est qui celui-là et quel nom? Cela pourrait nous faire penser à hippopotame, hypothénuse, hypothèse, hippocampe.. et bien pas du tout, en pénétrant dans cette salle de théâtre, nous entrons dans la vie d’Hypo, ce petit garçon qui dès les premiers jours de sa vie a le malheur de vivre et de grandir dans le monde,  de l‘hypocondrie!

Qui ne sait pas ce qu’est l’hypocondrie (d’ailleurs beaucoup de mot finissant par ie et commençant par hypo….de vous à moi c’est pas bon signe, cela sent la maladie…. L’hypocondrie en une phrase  est un syndrome caractérisé par une peur et anxiété excessives et bouleversantes concernant la santé et le bon fonctionnement du corps d’un individu. … Ce qui laisse à supposer que lorsqu’on est touché par ce type de maladie on devient irascible, insupportable, associable, peureux, un supplice qui vous ligote autant que si vous enduriez la prison, rien de pire qu’être prisonnier de son mental.

J’ai eu l’immense privilège de passer un moment avec Hypo, qui contrairement à ce que l’on pourrait croire est un petit garçon fort attachant, et très drôle, qui a du caractère pour affirmer haut et fort sa différence. Affirmer sa différence par les temps qui courent ce n’est guère facile et en matière de maladie mentale c’est encore plus difficile. Vous imaginez le désarroi des parents face à ce type de problème, un enfant qui refuse d’aller dehors, de manger tel ou tel produit parce qu’il a lu que cela était néfaste pour la santé, qui ne veut pas faire de vélo par peur « d’obsolescence testiculaire » qui ne veut approcher que sa « Tatie Purée » qui est la seule à lui faire de la vraie purée et qui a le plus beau livre au monde « Le Vidal ». C’est désappointant comme situation pour les parents, mais pour les spectateurs c’est 1h30 de détente, de rire, de surprise, de jeux de mots, un vrai bonheur.

Ce spectacle théâtral au Palais Neptune à Toulon a été pour moi une parenthèse de bonheur comme je les aime, moi, amoureuse du théâtre et surtout de la langue française.

Hypo va se reproduire sur scène alors je vous en conjure ne ratez pas cette pièce qui vous fera rire, réfléchir, vous souvenir, tout à la fois, un petit bijou! Un jeune homme tout seul sur scène avec comme comparses pour l’accompagner dans cette fable burlesque 3 pauvres malles en carton mâché où il transporte toute sa vie.

Quand on décide de donner naissance à un enfant, en général on s’attend à tout un tas de surprises, de joies et de catastrophes, on sait qu’il y a des stades, oral, anal, adolescence, rébellion… On n’a suffisamment lu Régine Pernoud , Françoise Dolto, Piaget et tous les autres pour savoir que le chemin va être long, parfois joyeux, parfois moins.

On s’attend même parfois, surtout au moment de l’adolescence à des périodes difficiles qui peuvent conduire nos enfants dans le mutisme, et quelques pathologies telles que l’anorexie, la boulimie, la toxicomanie, l’addiction aux jeux vidéos mais l’hypocondrie? Quel parent s’attend-il à ce genre de catastrophe et bien pourtant parfois le diagnostic tombe et dès la naissance puisque déjà l’accouchement est difficile, l’enfant ne veut pas se résigner à sortir du ventre bien douillet de sa maman!

Et oui la vie est cruelle!

Notre Hypo de la pièce souffre donc de cette maladie qui est diagnostiquée très tôt, pratiquement à la naissance et c’est Hypo qui, lui-même sur scène, nous raconte le drame de sa vie, du tout petit enfant qui se réfugie chez Tatie Purée jusqu’au jeune adulte qui découvre le monde de Platon et le mythe de la caverne!

Je vous en offre un petit extraoi pour vous montrer le parcours que doit faire un enfant pour devenir homme. « Le mérite de Platon est d’avoir rendu imagée et visuelle cette sortie de l’ignorance que Socrate avait déjà si bien enseignée. Pour ce dernier en effet, le premier pas de la philosophie consiste à prendre conscience de son ignorance, c’est-à-dire de prendre un certain recul par rapport à ses opinions, ce qui n’est pas chose facile. Dans la pratique, on constate qu’il n’est pas aussi simple de se défaire de ses préjugés ou opinions toutes faites. La sortie de la caverne représente le fait que, lorsqu’on commence à réfléchir, on prend une certaine distance par rapport à ses opinions et on apprend à distinguer ce qui est réel de ce qui est apparent ou illusoire. La méthode de Socrate pour délivrer ses concitoyens de l’ignorance passait par la pratique du dialogue, c’est-à-dire la capacité de s’interroger soi-même, avec rigueur et méthode, pour sortir des faux-semblants et des idées reçues. Le retour dans la caverne symbolise la confrontation des idées découvertes à l’expérimentation quotidienne. » Au jour d’aujourd’hui on parle beaucoup des 5 Accords Toltèques qui nous ramènent à la même méthode pour vivre mieux.

Cette pièce est un voyage au pays du rire et de la fantaisie, du burlesque et en même temps de la vérité des choses de la vie et je tire vraiment un grand coup de chapeau à Lucas Andrieu pour son one man show. Tenir en haleine toute une salle en racontant sa vie, il fallait être capable de le faire et de trouver les mots pour que le spectateur reste assis et se questionne sur la chute,  Comment va se terminer le cauchemar de ce pauvre jeune homme.

Cette pièce est mise en scène par Xavier-Adrien Laurent et librement inspirée par le roman de Christian Astolfi avec la collaboration de Laura Leoni. Une pièce fine, intelligente et drôle à la fois  que vous devriez tous aller voir.

Et puis cela vous fera rire certes, mais aussi réfléchir sur le handicap des maladies mentales, car l’hypocondrie est une maladie mentale dont souffre de nombreuses personnes mais qui reste tabou, même le cinéaste Howard Hughes, souffrait de troubles mentaux de cet ordre, il avait une peur panique des microbes. Cela vous incitera peut-être à être plus tolérants, plus bienveillants envers les personnes qui souffrent de désordres mentaux car je peux vous assurer que la maladie mentale est un fardeau peut-être plus lourd qu’une maladie physique car elle est encore à notre époque une maladie honteuse, laisser son mental prendre les commandes de sa vie semble absolument impensable pour la majorité des gens.

Voilà je pense vous avoir dit mon ressenti, et le bonheur que j’ai eu d’être présente à la représentation du Palais Neptune je remercie Lucas Andrieu bien sûr en premier lieu pour ce magnifique cadeau car j’ai rarement la possibilité d’aller au théâtre et tout particulièrement sa maman Nathalie Barrière Andrieu pour son invitation généreuse et qui m’a apportée un moment de fantaisie, de plaisir et surtout d’émotion!

Mon dernier mot allez voir la pièce HYPO!!! et sans tarder…

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

 

 

Rendez-vous sur Hellocoton !

Il était une fois…

Il était une fois une petite couturière, un petit bout de femme, qui, avant de piquer du nez au milieu des fils, des boutons, des tissus et des dentelles, était d’un genre quelque peu différent, un peu guerrier, une battante, une cascadeuse, une motarde… Cette petite couturière avait une vie beaucoup plus dangereuse….mais au fond, devenir créatrice n’est ce pas un aussi gros challenge que d’être « fusillé marin » ou « championne d’Europe de boxe »?

 

Vous ne me croyez pas, j’en suis certaine, et pourtant ce petit bout de femme au doux prénom de Blandine, je l’ai rencontrée et surtout appréciée. Appréciée de par son parcours hors du commun, mais aussi pour sa spontanéité, son sourire, son appétit de vivre. Son goût pour le contact humain, sa générosité. J‘ai eu très envie de vous la faire connaître car se faire un nom dans le domaine de la création, par les temps qui courent, est extrêmement difficile, il y a énormément de concurrence dans ce domaine et il est difficile quand on a une expérience de la couture toute neuve, lorsqu’on  est encore un peu novice de trouver sa place, faire son nom, trouver « son credo ». Alors j’ai besoin de vous mes chères lectrices et lecteurs.

Blandine débute dans le domaine de la création, son cerveaubouillonne, les idées fusent dans tous les sens, et elle est devenue une grande amoureuse des tissus, comme je le suis moi-même. Néanmoins, jusqu’à sa reconversion elle ignorait qu’elle avait cette passion en elle et que ce nouveau métier la transporterait et lui apporterait du plaisir et des contacts. D’autre part, pour elle qui a failli ne pas pouvoir s’occuper de ses enfants cette reconversion est un cadeau du ciel. Elle apprend si vite, moi qui ne sait toujours pas poser impeccablement une fermeture éclair ou faire une boutonnière, je suis admirative!

Son histoire: Blandine après une adolescence tumultueuse, (que celles ou ceux qui ont été sages à l’adolescence lèvent le doigt) intègre l’armée, elle se sent plus une âme guerrière qu’une vraie fille et elle aime se mesurer aux difficultés, parallèlement elle pratique la boxe et devient championne d’Europe. Elle signe un contrat de 3 ans avec l’armée. Puis, ayant envie de se tourner vers autre chose et de faire une pause, au moment de la naissance de ses enfants, elle prépare un Brevet d’Etat de professeur de fitness pour devenir moniteur dans l’Armée.

Malheureusement la trajectoire va être tout autre, une chute en moto manque lui ôter la vie, elle est sauvée grâce à la rapidité des secouristes. Le chemin de la reconstruction, autant physique que psychologique, a été un long et douloureux parcours. Soutenue par sa famille et son envie tenace de voir grandir ses enfants, Blandine s’est battue et pour elle il était hors de question de rester en fauteuil…

L’histoire de Blandine nous montre bien combien certaines personnes sont capables de se remettre sur leurs pieds et sont aptes à la résilience après un traumatisme. On se rend vite compte des valeurs essentielles de la vie, gagner de l’argent à tout prix est-ce plus gratifiant que de rester auprès de ses enfants et de les accompagner vers leurs vies d’adulte? Blandine n’est pas un petit bout de femme à rester les bras croisés. De garçon manqué, elle a basculé dans la vie de femme et s’est investie à fond dans son rôle de maman et petit à petit elle a accepté le cadeau de sa maman: une machine à coudre?

Le tournant était pris, aujourd’hui elle s’aperçoit qu’on peut être femme, maman, créatrice, et faire des tas de jolies rencontres et surtout elle sait que créer lui apporte cet espace de liberté qu’elle pensait avoir peut-être perdue. La création, dans tous les domaines, nous élève, nous pousse à nous surpasser, dans la couture, comme dans la sculpture, l’écriture, la cuisine, la peinture…

Le parcours de Blandine me démontre, encore une fois, combien les femmes sont fortes et trouvent l’énergie de tous reconstruire après des cataclysmes. Une qualité ou un atavisme? Les femmes gouvernent, alors que les hommes pensent être au pouvoir mais c’est un leurre. Les hommes ne pourront jamais porter les enfants, et ne pourront jamais se dévouer comme les femmes savent le faire, les femmes font face souvent, leurs enfants et leur dignité les y aident très souvent.

Voilà, alors Blandine vous la trouverez sous le nom de BB.style ou BB pochette sur sa page Facebook et son Instagram, elle est très à l’écoute et peut réaliser tout ce que vous souhaitez, cabas, pochettes, turbans…les idées ne manquent pas.

N’hésitez pas à faire appel à elle si vous ne trouvez pas la petite pochette qui irait si bien avec votre robe, sollicitez-là pour un petit cadeau pour la fête des mamans à petit prix, pour un cadeau d’anniversaire à une copine, rêvez votre accessoire et Blandine le réalisera car elle a des doigts de fées et qu’elle n’a qu’une envie faire plaisir!

Bientôt, elle vous proposera une exposition qui aura lieu un dimanche matin chez liveloveandcook où vous pourrez découvrir toutes ses réalisations. On vous y attend nombreuses, donner une petite heure de son temps pour aider une créatrice à se faire connaître n’est pas grand chose et cela vous apportera tellement, une parenthèse conviviale entre filles autour d’un thé et des petites friandises! Merci à tous et toutes de m’avoir lue jusqu’au bout.

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

 

Rendez-vous sur Hellocoton !

Que vous évoque l’orange

Pour moi, l’ orange évoque plusieurs images, plusieurs souvenirs…en premier lieu il m’évoque le pays où j’ai passé une longue partie de mon enfance et adolescence le Maroc, le pays du soleil, où dans la rue en 1970 et encore aujourd’hui les ânes traînent des charrettes où s’amoncellent des kilos et des kilos de ce fruit que j’adore temps et que mon père avalait par saladier entier!

L’orange me ramène aussi à un poème de Paul Eluard, un auteur que j’aime toujours autant et qui vouait un amour inconditionnel à Gala, son épouse, connaissez-vous la poésie dont le titre est  « La terre est bleue comme une orange »?

Si l’« orange » est évidemment un fruit rond à l’image de la « terre », il est aussi, poétiquement, réellement, plus que cela : un fruit de la terre et du soleil (+ réalité), de l’amour desquels il restitue l’image (+ poésie). L’ «orange » est autant un fruit méditerranéen que le fruit d’une terre ensoleillée. Mes 17 ans correspondent à l’époque où je découvrais les surréalistes, une période extrêmement riche pour moi sur le plan intellectuel et philosophique et Eluard demeure un de mes poètes qui sait (comme d’ailleurs Louis Aragon ) parler de l’amour et de la liberté.

Tout ce long préambule, pour vous parler de mode!  Pour vous présenter la couleur orange que j’adore porter, une couleur pétillante, lumineuse, qui fait le teint frais et qui réchauffe n’importe quelle tenue! J’ai le plaisir de vous présenter mon dernier look déniché chez Grain de Malice une de mes enseignes d’amour vous le savez déjà, une boutique malicieuse, moderne, où je trouve toujours mon bonheur et où vous trouverez le vôtre, n’hésitez pas à aller vous promener sur leur site Grain de Malice.fr ou en boutique. Je vous montre?

J’ai trouvé cette petite tenue décontractée tout à fait en adéquation à mon mode de vie, décontractée sans être négligée, moderne, pétillante et facile à poter. J’ai assortie mon pull orange si joliment brodé dans le dos que vous trouverez ici  à un pantalon souple en tencel, le pantalon tendance et parfait pour l’été fluide, élégant et très chic si vous le portez avec des talons et à un petit top près du corps.

Comme les températures sont encore un peu fraîches à mon goût, je ne quitte pas mon chèche, celui-ci est un de ceux que je préfère il est lumineux et bariolé ainsi je peux l’assortir facilement avec des tenues unies. Il vient de chez Kiabi, une enseigne à petit prix où on débusque des tas de jolis accessoires.

Une paire d’espadrilles, shoppée, vous devinez où chez Babou, ultra confortables, je sens que je vais courir m’en acheter de toutes les couleurs, j’adore ce petit côté bohème de l’espadrille, la chaussure de mon enfance que je détestais tellement avant, avec son côté savate et le talon en tissu qui s’aplatit mais ça c’était….avant!

Une petite tresse sur le côté et un sourire à mon photographe unique et préféré Jenychooz, qui se dédie maintenant à l’ouverture de ses gîtes ruraux magnifiques, à Vacqueyras, Come à la maison.

Elle n’est plus très présente, alors faire des looks sans photographe c’est légèrement galère, j’avoue d’autant que je suis loin d’être photogénique! Alors j’en profite pour lancer un appel désespéré à mes copines qui auraient des envies de me photographier!

Une petit bracelet à mon poignet de mon amie Carole de La Perle d’Oro et le look est bouclé.

Alors oseriez-vous porter du orange? Cette association de pièces vous plaît-elle? Aimez-vous le pantalon décontracté qu’on porte à la cool et qui vous annonce vos prochaines vacances?

N’hésitez pas à vous tourner vers l’enseigne Grain de Malice, soit sur leur site il y a plein de jolies choses et cette enseigne habille toutes les femmes et les rend belles en un clin d’oeil.

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

 

 

 

Rendez-vous sur Hellocoton !

Les pancakes a la ricotta

Voilà bien longtemps que je n’avais pas rédigé d’article culinaire mais surtout que je ne m’étais pas remise à cuisiner. Même si je mange très peu, j’aime toujours autant faire la cuisine surtout pour mes hôtes plus que pour moi-même.

Vous connaissez mon addiction à la cuisine végétarienne et il est vrai qu’être végétarien est un mode de vie qui vous oblige à cuisiner et à savoir manier les épices, à savoir accommoder les légumes. Je suis ainsi toujours à la recherche de nouveaux livres sur le sujet, de nouvelles recettes, de nouvelles expérimentations.

J’ai d’ailleurs acheté un magnifique livre  « Végétarien facile » aux Editions Marabout, sur la cuisine végétarienne que je conseille à tous ceux qui aiment prendre du plaisir à cuisiner, c’est un très beau livre et truffé de recettes alléchantes et originales.

Mon petit séjour à Vacqueyras chez ma fille Jenychooz qui, maintenant, est aussi « Come à la maison » m’a « reboostée » en ce sens, à me remettre aux fourneaux. Camille est toujours demandeuse de nouvelles recettes ou curieuse de connaître tous les secrets culinaires de sa maman. Mais je lui dis souvent qu’en cuisine je ne pèse pratiquement jamais et que souvent c’est mon odorat, la qualité des produits que je trouve autour de moi, l’envie de faire plaisir qui me guident dans mes réalisations culinaires. Faire la cuisine reste avant tout pour moi synonyme de donner de l’amour.

Je vous propose aujourd’hui une recette de pancakes à la ricotta, que je ne vais d’ailleurs pas tarder à refaire tellement nous nous sommes régalés.

Vous pourrez suivre mes gestes pas à pas grâce aux images, ceci étant dit, vous êtes libres à partir de la recette de laisser vagabonder votre imagination et suivre votre instinct. Je pense souvent que nous cuisinons comme nous sommes. Je suis une personne fondamentalement curieuse, curieuse de découvertes en permanence, une insatiable de connaissances ainsi je me laisse souvent aller à faire des tests et je cuisine comme je voyage, je me laisse porter par les odeurs, les saveurs….

Ingrédients pour 4 personnes (pour moi et mon invité j’ai divisé les proportions par deux)

300g de petites tomates roma en grappe (j’ai choisi d’utiliser un meli-melo de tomates cerises) – 2 c.à.soupe d’huile d’olive vierge extra – 240g de ricotta – 1 oeuf – 310ml de lait – 185g de farine avec levure incorporée – 1 poignée de basilic frais – 20g de parmesan râpé – 30g de beurre – 1c.à soupe de vinaigre balsamique blanc – 250g de roquette – 1/2 petit oignon rouge (50g) émincé.

Comment procéder?

Préchauffer le four à 220°C. Placez les tomates préalablement arrosées de la moitié de l’huile d’olive dans un petit plat allant au four. Enfournez jusqu’à ce que leur peau se fendille.

Fouettez l’oeuf et la ricotta dans un saladier, y incorporer le lait, la farine tout en fouettant, ajoutez le basilic et le parmesan, sel et poivre.

Faites fondre un peu de beurre dans une grande poêle antiadhésive à feu moyen. Déposez des petites louches de pâte (environ 60ml) dans la poêle en veillant à les espacer suffisamment pour que les pancakes puissent être « à leur aise ». Empilez les, couvrez les et gardez les au chaud.

Présentation: placez la roquette et l’oignon dans une assiette et arrosez les de vinaigre et du reste d’huile et déposez dans chaque assiette les pancakes chauds.

Personnellement, je me suis permis de rajouter sur l’assiette des spaghettis de courgettes pour faire de  cette assiette un plat plus copieux. Vous pouvez, si vous n’êtes pas végétarien, poser sur l’assiette du jambon de pays, italien de préférence, style procciuto ou jambon d’Aoste.

Voilà une recette faite en un tour de main qui peut constituer un plat complet pour le déjeuner ou le dîner et je suis convaincue qu’elle peut plaire à vos enfants même ceux qui ne sont pas fan de légumes.

J’espère que vous vous lancerez dans cette recette simplissime et si vous trouvez des astuces pour l’améliorer ou la rendre différente n’hésitez pas à m’en faire retour, j’ai failli tester la même base mais avec du curry et des aubergines au four, ce sera une prochaine aventure culinaire…

A très bientôt et bon appétit.

Vous pouvez également me suivre sur Instagram et Twitter.

Rendez-vous sur Hellocoton !