Se faire un petit coin à soi

J’ai la chance et le bonheur de vivre à la campagne, je ne me suis jamais sentie citadine, même si de temps à autre, j’aime comme toutes les femmes faire du shopping et arpenter les vitrines. J’ai toujours été plus attirée par la vie à la campagne, en tout cas mon rêve était un « petit home » ou la formule exacte serait plutôt un grand « OM »  loin de l’agitation des villes.

La vie en ville est non seulement stressante, polluante, mais également propice aux dépenses souvent futiles. La vie retirée à la campagne est plus riche et intéressante, elle m’apporte la vitalité dont j’ai besoin. J’ai besoin de respirer, besoin d’un environnement calme pour me ressourcer, la forêt ou la mer, un lieu où je puisse me retrouver en harmonie avec la nature, en compagnie de mon chien mon golden retriever Snow qui partage ma vie ainsi que mon chat Marlon.

Ma maison, mon jardin sont mon havre de paix, malgré le fait que je vive en lotissement, je me sens bien quand je m’allonge dans l’herbe et que je regarde le ciel de Provence, l’hiver j’aime me blottir devant la cheminée, je suis une femme qui se contente de peu, la nature, du soleil, mes animaux et me voilà heureuse, je préfère un pique-nique posée dans l’herbe lors d’une randonnée en pleine nature que la table d’un restaurant étoilé.

Depuis que j’habite en maison j’ai toujours eu un rêve c’est d’avoir un point d’eau, un bassin, une piscine, un endroit pour se rafraîchir…. Mais le jardin est si petit que même en se creusant la tête impossible à entreprendre. Alors à force de cogitations, et il faut le dire je suis une femme têtue, j’ai décidé de contourner le problème en me faisant une « pièce d’eau » en in-door mais avec vue sur l’out-door et ce pari audacieux est une réussite.

J’ai vidé l’abri de jardin de tout ce qui encombrait et ne servait à rien et j’y ai installé mon cocon de douceur et de bien-être, mon coin spa et  comme toujours Babou m’a grandement aidé à réaliser mon rêve à moindre coût. Comme je suis passionnée de décoration et que j’avais une idée bien précise de la façon dont je voulais agencer le lieu, cela n’a pas été difficile et donnera peut-être quelques idées à celles qui rêvent d’une piscine ou d’un coin repos. A le créer à partir de pas grand-chose et à moindre coup.

Allez je vous laisse découvrir mon petit havre de paix.

Alors évidemment il vous faut un abri de jardin et un spa, j’ai pris l’option spa gonflable, le plus économique mais efficace et esthétiquement parlant il n’est pas trop laid, mon budget étant très serré j’ai opté pour le modèle de My piscine à 350€. J’ai installé au sol dans cet abri de jardin qui a bien vécu, une moquette verte type gazon synthétique, je suis tombée sur un lot intéressant pour 40€, qui a suffi à couvrir toute la surface. Et j’ai mis des petits tapis, comme le gris façon « loufah » qui a été shoppé chez Blancheporte, un site de vente internet où on trouve de très jolies choses en matière de décoration intérieure (tapis, linge de lit, serviette….)

Ensuite il suffisait de me laisser mener par le bout de mon imagination. J’ai assez l’esprit « récup », alors j’ai repris mes vieux sièges de camping, je les ai habillés chacun d’un couvre-lit écru de chez Ikea dont je n’avais plus usage. Ensuite l’enseigne Toko Ada m’a aidée à poursuivre mon chemin vers l’Indonésie, elle a fourni le batik aux tons roses et les coussins carrés en patchwork. Pratiquement tout le reste de la décoration vient de chez Babou et je remercie grandement l’enseigne qui permet toujours de se faire plaisir à moindre coût..

J’ai choisi les rideaux en fils beige et fuschia pour dissimuler l’armoire et les outils de jardinage (8€ pièce) les voilages pour les fenêtres (entre 5 à 10€) un coussin, une bouilloire, une boîte à thé, une coupelle pour poser son sachet, les tasses, les bougies, le peignoir fuschia (20€) les tongs (1,50€).

Dans mon petit espace de relaxation, rien ne manque, la musique grâce à de petites enceintes portables, un mini diffuseur d’huiles essentielles, des livres et magazines (Happiness, Flow…) rangés dans un panier qui vient également de chez Babou.

Je suis tellement fan des paniers de Babou, je les utilise pas seulement pour le marché, mais aussi en décoration, en cache-pot, dans les toilettes, comme sac à linge sale. Colorés et joyeux, vous en trouverez chez Babou, de toutes les tailles et tellement abordables au niveau prix, les plus chers comme celui-ci coûte 12€ mais il est vraiment très travaillé au niveau du tissage.

N’hésitez pas pour votre table ou pour ranger vos serviettes à récupérer des cagettes cela ne coûte rien et peut faire un très bel effet.

Cet espace est devenu non seulement un espace où je peux me glisser avec délice dans une eau à 42° mais il est devenu pour moi, un cocon de douceur, un lieu de détente, un lieu de solitude sereine et douce qui m’apporte beaucoup de réconfort. Et contrairement à ce que l’on peut penser cela ne m’a vraiment pas coûté trop d’argent et je sais que cet été, car je ne peux partir en vacances, je pourrais ouvrir grandes les portes du chalet, admirer mon jardin et me plonger avec délice dans l’eau (en baissant la température!)

Merci encore à Babou de m’offrir la possibilité de me gâter autant, de me cocooner autant, alors faites en autant fureter dans les rayons de l’enseigne et vous trouverez des tas de petites choses pour rendre votre vie pus colorée, plus douce, plus confortable…Soyez bienveillants avec vous-même, Babou vous y aide!

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Entre les deux mon coeur balance

A l’occasion d’un évènement organisé un dimanche matin vers 8h30 par Le Varois.com, le restaurant Crêpes du Monde, situé à l’Avenue 83 et l’association EnEquilibre.asso j’ai non seulement dégusté un brunch vraiment comme je les rêve, comme je les aime, un brunch vegan et heathy mais j’ai surtout découvert une autre pratique du yoga.

Depuis le mois de juin, j’ai découvert, dans ma quête de reconstruction intérieure et extérieure, la pratique de la méditation et de l’hatha yoga avec mon professeur et maintenant amie Jessica Roméo, j’ai d’ailleurs écrit un article à ce propos, ici, ce fameux dimanche, j’ai découvert grâce à cet évènement , une nouvelle pratique l’Ashtanga yoga.

Une pratique toute différente, plus tonique, plus difficile, mais je ne suis pas femme à laisser tomber ce que j’entreprends, moins portée sur la méditation mais tout aussi intéressante. Cette pratique d’ailleurs m’a fait comprendre comment aller être longue la route vers la réparation de mon corps bien fatigué et à bout de force. Il est loin le temps où je randonnais d’un bon pas vers le sommet du glacier blanc!

Un petit mot sur l’origine de l’Ashatanga Yoga: (source Wikipédia)

Lorsque le terme aṣṭāṅga est associé au mot yoga pour former le vocable aṣṭāṅgayoga, celui-ci désigne le yoga en huit membres (aṅga) mentionnés dans les Yoga Sūtra de Patañjali. Ceux-ci se composent des cinq restrictions ou réfrènements (yama), des cinq vertus (niyama), des postures (āsana), de la discipline du souffle (prāṇāyāma), de l’abstraction des sens (pratyāhāra), de la concentration (dhāraṇā), de la méditation (dhyāna) et de la contemplation méditative (samādhi).
Aṣṭāṅgayoga est également utilisé pour désigner l’Ashtanga Vinyasa Yoga tel qu’enseigné par Pattabhi Jois. Il est orthographié à l’occidentale ashtanga yoga.

Depuis ce fameux dimanche, un déclic s’est produit en moi et comme souvent quand j’ai un déclic je ne tourne pas les talons. J’avais envie d’aller plus avant dans la découverte de cette nouvelle pratique du yoga sans pour autant abandonner l’hatha-yoga qui reste et demeure pour moi un vrai besoin et qui m’apporte bien plus qu’un bien être physique.

Jessica Roméo m’a appris à avoir de la compassion pour moi-même, elle m’a appris que d’avoir une âme c’est bien mais sans le corps l’âme s’envole et on ne peut plus aider autrui comme j’aime le faire. J’ai appris une nouvelle philosophie de vie, l’art de me retrouver avec moi-même, un travail sur l’ego, un travail sur la bienveillance que je dois atteindre envers moi-même.

La bienveillance pour les autres, je n’en ai jamais manqué, j’en ait fait même mon métier en devenant éducatrice pour essayer de sortir des jeunes mineurs d’un chemin de vie perturbé et chaotique.

Aujourd’hui j’ai envie de retrouver ma force physique et le yoga demande tellement de persévérance, d’efforts mais toujours dans la bienveillance envers soi-même que je dois poursuivre ce chemin vers une autre liberté celle de redonner envie à mon corps et mon coeur de gravir des sommets comme lorsque je faisais de la randonnée en montagne mais sans jamais oublier qu’il faut faire un pas après l’autre.

Le yoga est un sport qui se mérite, et cela dans la non-violence et le respect de ses limites. Sylvie Castelle, mon professeur d’Ashantaga nous le rappelle à chaque séance, soyez dans le bien-être et non dans la performance.

Ce qui me plaît dans la pratique du yoga c’est qu’il n’y a pas cette notion de compétition, notre tapis est magique et sa magie est différente de celle du tapis voisin tout aussi magique, chacun est capable de ce qu’il ressent et non de ce qu’il doit faire. Jamais je n’avais ressenti une telle liberté avant ma rencontre spirituelle avec le yoga. Avant le yoga je faisais tout à 10.000 à l’heure sans écouter mes limites, et même le sport, j’en ai fait toute ma vie, devenait une « obligation » et j’avais besoin de sentir mon corps souffrir pour réussir et pour avoir l’impression d’avoir bien travailler. Aucune commune mesure avec la pratique du yoga, où on doit respecter son corps et lui faire du bien!

La philosophie de l’hatha-yoga et de l’ashtanga m’a appris qu’il faut prendre le temps de vivre sa vie, ici et maintenant, et que seul le chemin importe et pas le but! Depuis ma rencontre avec Jessica et ensuite Sylvie j’essaie de convaincre les femmes et même les hommes autour de moi de pratiquer le yoga pour apprendre à se mettre, l’espace d’une heure, dans une bulle de lumière et de bien être, pour mieux aimer sa vie et affronter les douleurs que nous endurons tous.

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Méditer avec Petit Bambou

Il y a quelques mois encore, j’ignorais totalement ce qu’était la méditation et aujourd’hui je peux affirmer que cette pratique, incluse dans mes cours de yoga, m’a sauvé la vie.

 

 

J’ai fait un « burn out » très grave en décembre 2013. Je me suis enfoncée de plus en plus dans la dépression et cela a réveillé la maladie mentale, que je gère du mieux que je peux depuis ma jeunesse grâce à la chimie et à un suivi thérapeutique régulier.
nIl s’agit de l’anorexie mentale, une maladie peu connue, est qui pourtant fait des ravages et qui n’a rien à voir avec celle des mannequins de magazines, une maladie grave liée à l’affect et plus particulièrement à l’abandon et peut conduire à la mort.

 

 

Je l’ai frôlée bien des fois. De plus en plus déconnectée de mon corps, dont je veux me débarrasser à tout prix parce qu’il ne me sert à rien, il ne reçoit aucun amour ni de moi, ni de personne seul mon mental me fait tenir debout. Mon corps est un boulet.
Alors, par amour pour ma fille Camille alias Jenychooz pour tenter de tenir, j’ai pensé à la pratique du yoga, lien sur le billet que j’ai rédigé au sujet de ma pratique.

 

 

 

Mon psychiatre me menaçant d’hospitalisation, j’ai essayé et grâce à une jeune professeur absolument exceptionnelle, Jessica Romeo, petit à petit, je me suis lancée dans cette nouvelle pratique.

 

 

Au fur à mesure des séances, rien n’est gagné encore, mais je ressens un mieux être, je me suis « reconnectée » pas forcément à mon corps que je continue à maltraiter et à rejeter, mais je prends aujourd’hui au moins le temps de me poser et de comprendre ce qui se passe en moi.
nQuand je sens une boule d’angoisse grossir grossir, je me mets en position de méditation, en tailleur sur le tapis, le dos bien droit, les mains sur les genoux et je lance mon application Petit Bambou et là je ferme les yeux et j’écoute.

 

 

 

Je sens peu à peu grâce à la respiration et au son de la voix, qui me raconte une histoire, je sens le lâcher-prise, la reconnexion avec moi-même, ici et maintenant.

 

 

Petit Bambou est une application payante que vous pouvez télécharger sur votre tablette, ordinateur ou smartphone, néanmoins Petit Bambou vous offre 8 méditations gratuites de 10 à 15 minutes.

 

 

 

Personnellement je ne peux me permettre de financer le prix d’un abonnement. Il faut compter 38€ pour 6 mois mais je reste vraiment intéressée car les abonnés ont la chance de pouvoir aborder par la méditation tous les sujets qui les rendent « malheureux », l’estime de soi, le stress au travail, les problèmes de couple, le sommeil, la problématique liée à la nourriture….

Dans le monde où nous vivons actuellement, il est important de se recentrer à certains moments sur soi-même pour éviter « le burn out », la colère, les frustrations, les pensées négatives….
Petit Bambou vous y aidera comme il le fait pour moi et comme le fait mon professeur de yoga Jessica Romeo.

 

Cette pratique fait maintenant partie de ma vie et j’essaie tous les jours, quand la peur s’empare de moi, ou que je n’arrive rien à manger ou je voudrais voler et disparaître, je pratique 10 minutes de méditation et cela m’aide à me redresser, à relativiser, et à me rappeler qu’après la pluie, il y a le beau temps!

 

 

Essayez, vous avez tout à y gagner et voler 10 à 15 minutes pour soi par jour c’est possible! Osez prendre ce temps là, votre bien-être en dépend!

Je vous ai laissé tous les liens dont vous aurez besoin sur l’article. Je vous souhaite de très belles séances et bienvenue dans le monde ici et maintenant.

 

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Hatha Yoga source de liberté

Tous les médecins sont prêts à vous dire que la méditation et la relaxation sont bénéfiques pour le corps et l’esprit. Ces deux disciplines aident à surmonter le stress et les pensées négatives et ont un réel effet sur les dommages causés par la dépression.

 

La dépression est souvent un mal larvé, dont on ne peut se libérer et dont on a honte. Contre la dépression, il y a certes la communication par les mots mais la méditation aide aussi beaucoup.
Apprendre à porter son attention de manière intentionnelle (« la pleine conscience ») au moment présent est aussi une arme précieuse.
Prendre conscience au moment présent des pensées et humeurs qui nous traversent sans les juger pour s’en détacher émotionnellement est, certes très difficile, mais réellement bénéfique.

 

J’ai commencé depuis quelques semaines (8 exactement à raison d’une heure par semaine) avec l’aide et le professionnalisme de Jessica de tenter de sortir de la dépression qui ne m’a jamais lâchée durant toute ma vie, depuis que je suis adolescente.

Une dépression grave qui se caractérise par le symptôme d’anorexie mentale et j’ai traversé des périodes où le symptôme prenait le dessus à tel point que mon corps et mon esprit n’étaient plus du tout connectés, deux entités différentes en conflit permanent. Je n’ai jamais souhaité qu’une chose n’être qu’un esprit, une pensée, une âme…rien de terrestre!

L’anorexie m’emprisonnant de plus en plus ces trois dernières années, grâce à l’aide de mon médecin, de ma fille, de ceux qui m’aiment j’ai pris la décision d’essayer de faire du bien à ce corps qui souffre et ne cesse de me faire souffrir.

 

J’ai décidé de me tourner vers la pratique du yoga, une discipline que j’avais expérimentée une première fois il y a environ 20 ans, en cours collectif, et qui ne m’avait rien apporté.
Je n’avais rien ressenti si ce n’est une perte de temps.

Cette fois, je m’y suis prise autrement et de façon plus déterminée, j’ai fait des recherches sur internet et j’ai rencontré un professeur qui m’a donné envie de poursuivre ma démarche et peu à peu je sens combien cela me fait du bien. Jessica Romeo est une professeur très jeune, d’une douceur et d’une empathie extrêmes.
Elle m’apporte tout ce dont j’avais besoin et je sens que je suis en progrès.
Même si cela ne soigne pas la maladie, ni ne fait disparaître le symptôme la pratique de l’hatha-yoga m’apaise, m’oblige à m’écouter, à me poser, à cesser de me faire du mal, au moins le temps de la séance.

Je me permets de mettre en avant cette professionnelle du yoga car Jessica a senti pratiquement immédiatement dans quelle détresse je me trouvais, elle a su trouver la bonne pratique mais surtout les mots réconfortants, elle a su chasser ma pudeur, me mettre à l’aise et m’épauler d’une manière admirable. Jessica Romeo est une personne tournée vers les autres, très à l’écoute et en laquelle j’ai placé toute ma confiance et bien plus encore…. Je la remercie du fond du coeur. Namasté.

Il y a plusieurs sortes de yoga, mais l’hatha-yoga au stade où j’en suis est parfait pour moi. Il peut se pratiquer en pleine nature, (Jessica d’ailleurs organise des séances souvent le dimanche matin en plein air), soit à la maison, à l’heure où on en ressent le besoin.
Il ne s’agit pas d’une discipline au sens propre du terme, mais d’un moment qu’on prend pour soi.

« L’haṭha yoga, est une forme particulière de yoga qui a été codifiée en Inde, avant d’atteindre, au XXe siècle, l’Occident. Il signifie « yoga d’effort » et concerne principalement l’éveil spirituel par les postures correctes (āsana), la discipline du souffle (prāṇāyāma)1 et la méditation. »

 

 

Pour pratiquer l’hatha yoga, il vous faut un endroit au calme si possible, un moment où la maison est déserte, où un endroit dans la nature qui vous inspire.
Vous avez besoin d’un tapis et d’une tenue dans laquelle vous n’êtes pas entravée, j’ai trouvé ma tenue chez Babou, elle est à tout petit prix et me convient parfaitement.

 

Elle est douce au toucher, confortable, presque coquette avec ce gris bordé de turquoise. Le bas est juste parfait, pas trop court, car j’ai vite froid. Souvent après la pratique il m’arrive d’avoir froid donc vous pouvez faire le choix aussi de porter des petites chaussettes courtes que vous trouverez dans la même enseigne ainsi qu’un plaid, vous trouverez tous ces articles chez Babou.

 

 

Depuis le début de ma pratique je n’ai eu de cesse que de me documenter sur cette pratique du yoga, j’ai lu, cherché sur Wikipédia, beaucoup parlé avec mon professeur. Cela m’enrichit aussi beaucoup.

« Haṭhayoga peut se traduire en français par « yoga de la ténacité » ou « yoga de la vive force » ».

« Une interprétation symbolique fait de l’hatha-yoga l’union du soleil (ha) et de la lune (tha) c’est-à-dire de toutes les dualités : Idâ et Pingalâ, souffle inspiré et souffle expiré, masculin et féminin, etc… »

Histoire

« L’origine du haṭha yoga est bien antérieure au XVe siècle de notre ère, date à laquelle il est codifié. En effet, le haṭha yoga a reçu des influences tantriques et shivaïtes remontant à l’époque médiévale. On trouve également l’utilisation de postures dans la civilisation harappéenne. En Occident, la pratique du haṭha yoga s’est popularisée au XXe siècle. »

Je me permets dans ce billet de vous livrer le résultat de mes recherches si cela vous intéresse.

« Toute posture (āsana) que le corps peut adopter sera du yoga tant que l’intensité respectera le contentement qui ressortira de cette pratique. La non-violence envers son propre corps, l’humilité, sont des principes qui évitent de confondre yoga et acrobatie. Les postures peuvent être statiques. Quand elles sont dynamiques, elles peuvent se pratiquer selon un enchaînement précis, souvent selon un ordre respiratoire particulier. »
Il faut une certaine expérience pour prendre une posture dans une détente « structurée », avec une respiration régulière ainsi qu’un bon alignement vertébral coordonné avec les alignements des autres segments corporels.

Les postures ont un impact en termes d’étirement, ce qui favorise un assouplissement musculaire et soulage les douleurs issues des tensions.
En termes également de massage des organes internes, par compression et décompression successives.
Et vous retrouvez le pouvoir de concentration et d’une certaine connaissance de soi, pour pouvoir contracter les muscles nécessaires à l’architecture de la posture ou au contraire détendre ceux qui s’y opposent.
Durant les exercices de respiration (prāṇayāma), les quatre phases de base de la respiration sont explorées : l’inspiration, la rétention poumons pleins, l’expiration et la rétention poumons vides.
« Ces techniques de prāṇayāma permettraient le développement de la concentration en diminuant la dispersion mentale, et lorsqu’une base de recueillement suffisante a été établie, le corps et l’esprit pourraient acquérir une vigueur et une vitalité nouvelle en puisant à même l’énergie du prāṇa.« 

Exactement ce dont j’avais besoin.

 

Je vous invite, si vous souffrez comme moi de troubles, de dépression, de détresse, à vous tourner vers cette pratique qui m’aide et qui saura vous aider aussi j’en suis certaine. Je vous laisse les coordonnées de mon professeur car elle est particulièrement professionnelle et douce.

Jessica Romeo
Professeur certifiée Yoga Alliance
Secteur Var (83)
Mail: yogajessicaromeo@gmail.com
www.facebook.com/jessicaromeoyoga
Tél: (+33 06 23 18 13 48

 

 

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