A star is born!

Ce film est beaucoup plus qu’un film autobiographique sur une icône de la chanson….  « A star is born », ce film de Bradley Cooper est une magnifique histoire d’amour interprétée de façon bouleversante par Bradley Cooper, à la fois ici  cinéaste et acteur et Lady Gaga, légende de la pop, une ovni de la scène musicale.

L’émotion a été pour moi au maximum et si je viens vous en parler aujourd’hui c’est que j’ai été secouée par une histoire qui par certains côtés a fait écho chez moi.

« A star is born » raconte l’histoire de la naissance d’une star certes, mais surtout d’une femme… Ce film raconte aussi combien l’amour peut soulever des montagnes et faire de vous une autre personne. L’amour peut révéler le meilleur de vous-mêmes alors que vous pensiez n’être rien, insignifiante goutte d’eau.

 

N’avez vous pas vous même ce sentiment que l’amour décuple votre confiance en vous?

L’histoire:

Star de country un peu oubliée, Jackson Maine découvre Ally, une jeune chanteuse très prometteuse. Tandis qu’ils tombent follement amoureux l’un de l’autre, Jack propulse Ally sur le devant de la scène et fait d’elle une artiste adulée par le public. Bientôt éclipsé par le succès de la jeune femme, il vit de plus en plus de mal son propre déclin…

Dans ce film la plupart des gens ont vu la naissance d’une star et le déclin d’une autre star. Ma lecture est tout autre…ce n’est pas la réussite de la talentueuse Ally qui vient couper les ailes de Jackson, mais plutôt l’abandon qu’il semble « revivre » au fur et à mesure qu’ Ally se dirige vers le succès.

A mon sens, il prend davantage conscience de l’envie qu’Ally a de réussir, des sacrifices auxquels elle est prête pour faire aboutir sa carrière alors que lui n’en n’a pas été capable par le passé.

Car devenir une star demande des sacrifices, demande une disponibilité constante. Ally pour atteindre son apogée se retrouve dans un conflit intérieur où elle doit choisir entre son amour de la musique et son amour. Comment laisser de côté  l’homme qu’elle aime et qui a su voir en elle non seulement son talent, son potentiel mais surtout qui l’a réconciliée avec elle-même, avec son physique qu’elle trouve ingrat, avec sa peur d’aller de l’avant. C’est Jackson, qui, par son regard, lui dit qu’elle est belle et que son nez est parfait, aussi parfait que sa voix.

Dans le film sont aussi évoqués en filigranes l’enfance de Jackson, l’abandon de son père, les blessures indélébiles… une souffrance qui l’a fait sombrer dans l’alcoolisme et la toxicomanie.

Ce film m’a bouleversée car contrairement à la lecture que peut en faire chacun, moi je n’y ai vu que de l’amour. Car aimer, est-ce donc autre chose que vouloir que la personne qu’on a choisie réussisse et s’épanouisse dans le bonheur? AIMER cela veut dire vouloir que l’autre soit heureux et accompli.

Jackson aime tellement Ally qu’il est prêt pour ne pas contrecarrer sa carrière à s’effacer, à mourir pour ne jamais être une entrave ou ne jamais être un frein aux décisions qu’elle a à prendre pour elle-même.

Y a t-il plus bel amour?

Je finirais par ces mots « A star is born » vous montre l’ascension d’une étoile et vous montre un amour infini entre deux personnes fragiles qui essaient de se soutenir l’une l’autre et cela dans un profond respect. Dans cette histoire il n’y a ni dominant, ni dominé seule la violence du monde du « showbizz » est responsable à mon sens de cette rupture brutale et sans appel et pour ma part je suis sortie de la salle en pleurant.

Le monde du spectacle est cruel, aujourd’hui vous êtes une star, le lendemain vous êtes « hasbeen » et vous n’êtes qu’un produit!

Ce billet n’est que mon ressenti personnel, mais je sais que, quel que soit le regard que vous porterez sur ce film, vous ne pourrez qu’être émus et touchés par l’histoire ainsi que par  le jeu des acteurs. Bradley Cooper et Lady Gaga sont authentiques, touchants de vérité, ils jouent à la perfection cette histoire de couple peu ordinaire.

« A star is born »

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Crédits photos: Allociné

 

 

 

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Le gratin de Magalie!

J’adore l’arrivée de l’automne et savez-vous pourquoi? C’est la saison des légumes couleur « orange ».

Carottes, potiron, courge, butternut, potimarron, panais, patate douce sont à la fête dans la cuisine. Il y a mille et une façons de les préparer, grillés au four avec une pincée de miel et des épices ou  des noisettes concassées, en potage, en flan, en gratins…

Quelque soit la manière de les accommoder les légumes oranges ne vous décevront jamais ils sont toujours goûteux, délicieusement savoureux et si faciles à cuisiner et à dévorer.

Aujourd’hui je vous propose de réaliser la recette de mon amie Magalie, qui au delà d’être naturopathe, adore manger sainement donc je suis toujours preneuse de ses petites recettes. J’ai réalisé son gratin hier soir, le grand plat à gratin prévu au moins pour quatre personnes a été dévoré en un clin d’oeil et nous ne sommes que deux….pour vous dire combien c’est bon!

La recette:

500 g de butternut

10cl de lait normal (ou végétal)

10cl de crème

3 oeufs (bio de préférence)

40g de farine ou de maïzéna (j’ai utilisé la maïzéna)

70 g de comté, emmental ou parmesan

sel, poivre, épices (j’ai utilisé de la muscade)

Il suffit de faire cuire les cubes de butternut à l’eau ou à la vapeur. Le plus difficile pour moi consiste à couper la butternut et à enlever la peau, il faut une sacrée force dans le poignet!

Une fois la cuisson terminée, on écrase au presse-purée la courge.

Dans un saladier, on mélange tous les ingrédients en commençant par les oeufs, la crème, le lait, les épices, et la maïzéna. Quand le mélange est bien homogène on ajoute la  « doubeurre » ou butternut et on glisse la préparation dans un plat à gratin, on saupoudre de fromage et on enfourne pour environ 40 minutes à four traditionnel à 200°. J’ai commencé par une chaleur classique et j’ai passé mon four en chaleur tournante les 10 dernières minutes  pour que mon gratin soit joliment coloré et doré!

Ce gratin est un délice, accompagné d’une salade verte il fait un plat complet pour un dîner et très adapté si comme moi vous êtes végétarienne. Bon appétit et encore merci à mon amie Magalie!

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L’école buissonnière

Je pense que vous avez toutes et tous fait l’école buissonnière qui consiste à tailler la route plutôt que de se rendre sagement à l’école, qui n’a pas séché l’école?
Suis-je la seule?
Il faut dire que j’étais sacrément surveillée et puis, là où j’ai grandi, c’est encore à l’école que j’étais le mieux, le lieu où je me sentais le plus libre!
Aujourd’hui je voudrais plutôt vous inciter à aller voir le dernier film de Nicolas Vanier du même nom que le titre de mon billet.
Si comme moi, vous aimez la nature, les grands espaces là ou la flore et la faune sont encore préservées, ce film vous plaira, si vous aimez également les films ayant une trame sociale, une intrigue familiale, ce film est pour vous.
Le début de l’histoire:
Paris 1930. Paul n’a toujours eu qu’un seul et même horizon : les hauts murs de l’orphelinat, sévère bâtisse de la banlieue ouvrière parisienne. Cet enfant est confié à Célestine et Borel, son mari, le garde-chasse un peu raide d’un vaste domaine en Sologne, l’enfant des villes, récalcitrant et buté, arrive dans un monde mystérieux et inquiétant, celui d’une région souveraine et sauvage.

L’immense forêt, les étangs embrumés, les landes et les champs, tout ici appartient au Comte de la Fresnaye, un veuf taciturne qui vit solitaire dans son manoir. Le Comte, interprété par François Berléand, magnifique dans le rôle, il a « le physique de l’emploi », cavalier sillonnant son domaine à cheval et amoureux de la chasse à cour, il tolère les braconniers sur le domaine mais Borel les traque sans relâche et s’acharne sur le plus rusé et insaisissable d’entre eux, Totoche.
Au cœur de la féérique Sologne, aux côtés du braconnier, grand amoureux de la nature, Paul va faire l’apprentissage de la vie mais aussi celui de la forêt et de ses secrets. Un secret encore plus lourd pèse sur le domaine, car Paul n’est pas venu là par hasard…
 
Pourquoi j’ai aimé ce film? Tout simplement parce qu’il a su m’émouvoir, et n’est-ce pas le rôle d’un cinéaste?
J’ai fait carrière dans le social et je sais combien il est difficile d’être privé d’affection maternelle et paternelle quand on est enfant. Je sais combien il est douloureux de grandir dans une institution de l’état puisque j’y ai travaillé. D’autre part je suis toujours touchée (c’est mon côté « fleur bleue ») par les histoires de famille, les secrets de famille.
Ce film m’a d’autre part vraiment séduite par son interprétation, François Cluzet dans le rôle de Totoche est tout simplement extraordinaire, autant qu’il l’était dans « Intouchables« , ou « Les petits mouchoirs« . Cet acteur est particulièrement brillant dans des rôles « atypiques » soit l’handicapé, soit le copain « parano ».
Ici il joue le rôle d’un braconnier « brute de décoffrage » et très attachant. Son compère Borel, le garde-chasse joué par Eric Elmosnino n’est pas en reste, l’acteur que l’on voit souvent jouer des seconds rôles, interprète à la perfection le rôle du garde-chasse borné, étroit d’esprit un peu « pèquenot », rustre.  J’adore cet acteur, souvenez-vous de lui dans le rôle de professeur de musique dans « La famille Bélier« .
Le personnage de Paul est très bien interprété par un jeune garçon Jean Scandel aux yeux bleus immenses, Paul est intelligent, fin, curieux, ouvert à tout, attachant et authentique.
 
D’autre part, ce film vous offre l’opportunité d’être transporté en Sologne, les paysages sont absolument magnifiques, j’ai eu l’impression d’y être, d’entendre le vol des canards, d’écouter le brame du cerf, de ramasser des cèpes, d’apprendre à pêcher à la mouche….
C’est un film français sans prétention, mais un film sincère, touchant, peut-être un peu à « l’eau de rose » mais je sais qu’en ce qui me concerne, dimanche dernier ce film m’a fait du bien. Je suis sortie de la séance reposée, détendue, convaincue que le bonheur est une multitude de petites choses toutes simples, que le bonheur est surtout lié à la façon dont nous avons décidé de mener notre vie, soit loin des fastes et de l’agitation de la ville, soit en accumulant des biens et devenir prisonnier de l’argent.
Le bonheur, c’est surtout accepter ce que l’on a, savoir vivre avec ce que l’on a, vivre en sachant profiter de chaque instant magique que nous offre la nature. Le bonheur c’est aussi ouvrir son coeur, savoir pardonner, être bienveillant.
Tournage du film « L’école buissonnière » réalisé par Nicolas VANIER et produit par Radar Films
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Crédits photos: Allociné
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Mon petit pyjama

Depuis toujours, j’ai l’habitude de me mettre en pyjama lorsque j’ai terminé ma journée. J’adore d’une manière générale les vêtements « cocoon » pour rester à la maison.

Parfois, il m’arrive même de rester en pyjama toute la journée car non seulement je m’y sens bien et à l’aise mais aussi parce que les pyjamas peuvent être une vraie pièce d’une garde-robe. Ils sont de plus en plus jolis et celui que j’ai trouvé chez Babou m’a vraiment fait craqué tellement il est mignon et douillet.

Et vous aimez-vous porter le pyjama? Fait-il partie de votre dressing?

Il faut savoir que le pyjama, quelque soit le modèle choisi, doit être un vêtement que vous porterez avec élégance car une femme se doit d’être élégante jusqu’à la nuit.

Le pyjama, ou quelque soit votre vêtement de nuit, il se doit d’être joli, et même sexy ou révélateur de votre féminité même si il est comme le mien tout en coton, aux motifs « petit coeur ».

Pensez que votre famille vous regarde à la nuit tombée, au petit-déjeuner, parfois même le facteur vous surprend dans votre petite tenue donc surtout soyez vigilante à bien la choisir.

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